Depuis un an, depuis le début de l’examen de la proposition de loi “Fin de Vie”, vous avez été des centaines, des milliers, à m’interpeller au sujet de la Proposition de Loi sur la fin de vie. Vous m’avez transmis vos témoignages, vos inquiétudes, vos espoirs. J’ai lu tous vos messages et je suis allée à votre rencontre, sur le terrain.
Ce vendredi 23 mai encore, je me rendais au Service de Soins Palliatifs de l’Hôpital de Crest pour rencontrer les soignant-es qui accompagnent cette étape de la vie. Et enfin, ce mardi 27 mai, à l’Assemblée, avait lieu le vote sur ces 2 textes.
L’un relatif au renforcement des soins palliatifs et à leur accompagnement, l’autre à la fin de vie. J’ai voté pour le texte permettant le renforcement des soins palliatifs. L’enjeu d’assurer l’accès aux soins pour toutes et tous est primordial.
Le texte a ainsi été voté (presque) à l’unanimité, cependant pour l’instant il n’est pas accompagné d’un budget : nous devrons être extrêmement vigilants de s’assurer de la pleine mise en oeuvre de la loi soins palliatifs dans les prochains mois. La prise en charge de la douleur est en effet un aspect essentiel de cette période là qu’est la fin de vie. Le “vivre avec” la maladie, qu’on ne soignera pas, qui restera, mais pour autant qu’il faut apaiser, accompagner. La priorité est là : parvenir à soulager cette souffrance, à éloigner le souhait de la mort qu’elle peut provoquer. La priorité est de permettre d’abord l’accès à toutes et tous aux soins palliatifs, à l’hospitalisation à domicile, à l’accompagnement social, à la prise en compte globale du patient dans son environnement familial et social.
Aujourd’hui encore, 21 départements dans notre pays ne sont toujours pas dotés de lits de soins palliatifs.
Les départements qui disposent d’un service d’hospitalisation à domicile aussi développé que celui de la Drôme sont rares. Il permet de soigner, de soulager, et d’accompagner les personnes à leur domicile. «Les vrais petits bonheurs de l’existence prennent tout leur sens à ce moment de la vie. Et nous, on fait tout pour rendre cela possible.»
On associe bien souvent les soins palliatifs à la mort, alors ça fait peur. Or, les soins palliatifs, c’est avant tout accompagner la vie. À Crest 📍, j’ai été reçue par une équipe incroyable qui a pris le temps de m’expliquer le sens de leur travail, la singularité de leur quotidien.
Nous avons parlé de transdisciplinarité, d’une médecine qui met l’humain au cœur du dispositif, qui permet à chacun, chacune, et aux familles également, d’avancer de façon apaisée dans la gestion de la douleur, et aussi dans le deuil.
Nous avons bien évidemment parlé du manque d’attractivité des métiers des services palliatifs, mais aussi de la joie des personnes qui travaillent dans ce service, du lien aux associations qui est incroyable, de la satisfaction et du sens de cette médecine.
À Crest 📍, nous avons la fierté d’avoir 9 chambres, une unité mobile, et également le second plus grand service d’hospitalisation à domicile public de France. Depuis plus de 30 ans il y a ici ce soin, cette culture de la qualité de vie au cœur de l’accompagnement des personnes.
Mais il y a des situations, où la médecine ne peut plus, où la souffrance est immense et insurmontable. Et où on souhaite la fin, pour mettre un terme à ces souffrances invivables. Face à ces situations, il existe déjà des solutions, notamment depuis la loi de 2016, dite Claeys-Léonetti. L’acharnement thérapeutique n’est plus autorisé par la loi. Il est permis d’avoir recours à la sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ces possibilités sont parfois méconnues. Pour autant, elles ne permettent pas de faire face à toutes les situations. Le cadre actuel renforce malheureusement les inégalités économiques existantes pendant la vie en ne permettant qu’aux personnes qui en ont les moyens d’accéder à l’aide active à mourir dans des pays comme la Belgique ou la Suisse…
Sur la loi fin de vie, le choix est immensément difficile et je vous le dis en toute honnêteté, moi, ardente défenseure de la centralité de l’Assemblée Nationale représentative : je crois que ce choix aurait dû être fait par référendum, permettant à chacune, chacun, dans l’intimité de sa relation singulière à la mort, de s’exprimer directement.
Subsistent en moi des doutes :
- sur l’absence d’accès aux soins de tant de nos compatriotes, et des budgets qui vont manquant pour accompagner chacune, chacun, vers une fin de vie digne ;
- sur le libre choix des individus quand il s’agit de faire le choix sans nul doute le plus important de leur existence ;
- sur la volonté « de ne pas être un poids », dans une société où l’on voit grandir l’ultra-libéralisme du début de la vie jusqu’à sa fin ;
Je ne peux me résoudre à ce qu’à travers ce vote nous abîmions et la dignité de la vie humaine et la solidarité qui sont au cœur de mes convictions, notamment pour les plus vulnérables d’entre nous.
Pour ces raisons, je me suis abstenue mardi dernier sur le texte sur la fin de vie. Posant mes craintes, mais respectant, également, le fruit de la Convention Citoyenne sur le sujet, et la majorité sociétale qui existe et que je ne souhaite pas bloquer.
Si le texte a été adopté hier, l’examen n’est pour autant pas terminé, car il arrive sous peu au Sénat. Comptez sur moi, pour rester vigilante pour garantir la santé et l’émancipation de tous nos concitoyens.
Les combats de la semaine : il y en eu tant, face aux grands reculs environnementaux !
La semaine qui vient de se passer fut un immense retour en arrière, chaque jour apportant son lot d’abandons écologiques de la part des Macronistes, chaque jour démontrant le climato-scepticisme et le scepticisme sanitaire du RN, de l’UDR et de la “droite républicaine”.
Elle commença lundi, après un week-end de tractations et de compromis proposés pour pouvoir étudier la “loi Duplomb”, qui n’ont pas abouti : le rapporteur et le “socle commun” ont décidé de porter et de voter une motion de rejet contre leur propre texte – une manoeuvre parlementaire inédite sous la Ve République tuant le débat parlementaire. Ce dévoiement procédural inédit dit beaucoup de la honte de la plupart de nos collègues d’assumer leur vote et ses conséquences sur la santé humaine, sur tant de filières agricoles importantes sur notre territoire (PPAM, agriculture biologique, colza, apiculture…), comme sur la biodiversité.
Sur un texte qui remet en cause les données scientifiques (mais quand son auteur considère le changement climatique comme « bénéfique »…qu’attendre de plus ?), sur des dispositions qui menacent clairement et la biodiversité dont l’agriculture dépend, et la santé humaine, nous n’avons donc pas eu de débat : pas un seul amendement, pas un seul vote.
C’est un scandale. Mais nous ne lâcherons rien.
Et c’est pourquoi nous étions mobilisé·es dès le mardi midi devant l’Assemblée nationale avec des organisations paysannes, des associations de protection de la santé et de l’environnement, et des scientifiques pour redire notre opposition, malgré le coup de force de la veille, à la Loi Duplomb, mortifère pour l’agriculture, et une régression sans commune mesure sur le droit de l’environnement. Retour de certains néonicotinoïdes, soutien à l’élevage intensif à l’encontre de l’élevage extensif que nous défendons, menace sur l’indépendance de l’ANSES… et RIEN sur le revenu, RIEN sur l’accès au foncier, RIEN sur l’adaptation au changement climatique : une fuite en avant irresponsable et honteuse que je dénonçais au nom de mon groupe devant le Palais Bourbon et sur France Info.
Une loi qui ne répond en rien aux demandes de l’ensemble des agriculteurs que je rencontrais le lendemain de ce coup de force démocratique avec mes collègues des groupes Horizons, LIOT, Ensemble pour la République, Droite Républicaine et Socialistes. A l’initiative de Marine Colli, nous avons réuni des agriculteurs et agricultrices de tout le pays, non-syndiqués, qui en ont un peu marre qu’on parle en leur nom bien souvent pour raconter n’importe quoi.
Éleveurs, maraîchers, arboriculteurs, en grande culture, conventionnels ou en bio, tout juste installé-es ou réfléchissant déjà à la transmission. Ils et elles nous ont partagé leurs espoirs et leurs craintes, en premier lieu celle des postures et des caricatures, quand les enjeux climatiques, géopolitiques, et sociaux pour l’agriculture sont si grands.
Je suis très heureuse de cette (trop courte) rencontre avec ces agriculteurs et agricultrices, dont j’espère qu’on entendra les voix concrètes, de terrain, plus souvent dans les média nationaux, en dehors de la défense d’intérêts privés et opaques que masquent de plus en plus mal les discours de certains porte paroles syndicaux et représentants politiques en ce moment. L’agriculture n’appartient certes pas qu’aux agriculteurs, cependant on a besoin de plus les entendre sur ces enjeux (et moins les capitaines d’agro-industrie ) !
Cette motion de rejet préalable n’était pourtant que le début d’une longue série noire pour la protection de l’environnement.
Mardi, nous reprenions les débats sur le PJL bien mal nommé “Simplification de la vie économique” qui simplifie pas grand chose : Du fait de l’absence notable du camp présidentiel, toutes les digues ont sauté en permettant de réduire l’ambition et la valeur de l’objectif Zéro Artificialisation Nette, en anéantissant aussi, mercredi, le combat contre le développement de l’asthme et des allergies pour nos enfants, et la mortalité liée aux pollutions de l’air à travers la suppression pure et simple – sans aucun remplacement – des Zones à Faibles Émissions qui étaient loins d’être parfaites mais qui pouvaient précisément être grandement améliorées : pour en faire des outils de justice sociale et sanitaire. Mercredi aussi, nous apprenions la reprise des travaux de l’A69, quelques jours avant un autre passage en force, ce lundi.
La semaine dernière, nous avons perdu des batailles. Ces défaites elles n’en sont pas seulement pour les Écologistes, mais pour tou-tes les français-es, en ce qu’elles nient la science, la santé comme cap des politiques publiques. Notre pouvoir démocratique a été bafoué, notre santé mise à pied, notre souveraineté agricole (la vraie) hypothéquée…Mais je le crois aussi fermement notre mobilisation, votre mobilisation compte énormément et nous obtenons des victoires parfois si infimes soient-elles, à nous, désormais, de transformer l’essai. On ne lâche rien.
La proposition de loi de la semaine : La pérennisation du dispositif territoire zéro-chômeurs de longue durée adoptée en commission !
Et quelle belle victoire après qu’en décembre dernier, le département de la Drôme ait décidé de retirer son soutien à l’initiative Territoire Zéro Chômeurs de Longue Durée sur le territoire de grande ruralité de Dieulefit-Bourdeaux 📍.
Alors que 20 emplois étaient sur le point d’être créés, dont 30% pour des personnes qui sont actuellement au RSA, alors que 60 personnes sont sur la liste d’attente, alors que 337 personnes, dans ce pays rural, sont identifiées comme volontaires potentiels (bénéficiaires du RSA ou chômeurs longue durée), alors qu’on parle là d’une zone blanche en matière de structures d’insertion, que la directrice de l’EBE était recrutée, alors que les activités avaient été identifiées et chiffrées, le département s’est désengagé, s’appuyant sur une faute de frappe.
Une faute de frappe dans le transfert de la délibération, oui : c’est sur une faute de frappe, masquant le choix politique de la coupe budgétaire, que le Conseil Départemental s’est appuyé pour justifier de la fin de son soutien à un projet qui avait été délibéré, voté, déjà engagé sur le territoire. Chez nous, ce fut un tremblement de terre. Les maires, les élus municipaux, les habitants, les bénéficiaires : ils sont allés, ensemble, jusqu’à faire une grève de la faim pour défendre le projet. Mais rien à faire, le département ne bougea pas, les chômeurs resteraient chômeurs, on continuerait à pointer du doigt ces satanés assistés, et tant pis pour les besoins locaux, et la précarité qui ronge nos campagnes.
Mais j’étais très fière que ce mercredi 28 mai, à l’Assemblée Nationale, nous adoptions en commission des Affaires Sociales, la pérennisation du dispositif Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée. Une belle victoire qui devrait se poursuivre cette semaine en hémicycle selon un ordre du jour changeant : je vous tiens au courant !
Le média de la semaine : Ici Drôme-Ardèche
J’étais ce mardi 27 mai à 7h45 sur Ici Drôme Ardèche pour échanger sur le vote inique de la motion de rejet sur la loi Duplomb réautorisant de fait – sans débat et sans vote – certains néonicotinoïdes dangereux pour les pollinisateurs et notre santé, et important dans notre pays un modèle agricole qui menace le modèle familial français.
Je répondais également aux questions des journalistes sur mon vote, de l’après midi, concernant les textes sur les soins palliatifs et la fin de vie dont je vous parlais plus haut. Vous pouvez me réécouter ici !
La tribune de la semaine : loi Duplomb (et oui encore !)
100 000 exploitants en moins en 10 ans. 50% des fermes qui changeront de main dans les 10 prochaines années. Une concurrence internationale toujours plus féroce avec des exploitations financiarisées, rendues dépendantes, en amont, et en aval, devenues de simples variables d’ajustement de la bonne balance commerciale du pays.
Les ventes à perte, l’endettement qui s’accroît, la dérégulation des marchés, les oligopoles qui accroissent leurs marges. Les terres inaccessibles. Les changements climatiques et les pertes de rendements.
Les 80% des insectes pollinisateurs qui ont disparu en 40 ans. Les voici, les vrais problèmes de l’agriculture française. S’atteler aux contraintes du métier d’agriculteur est donc plus qu’une nécessité, c’est une urgence.
Face à ces enjeux, la proposition de loi “Duplomb” nous est présentée comme la réponse à ces problèmes. Mais une fois de plus, comme pour la Loi d’Orientation Agricole, elle ne défend pas nos agriculteurs et agricultrices : elle défend un autre modèle agricole, pas le nôtre, qu’elle souhaite importer en France. Elle défend une agriculture qui dépend de substances chimiques tueuses d’abeilles, qui relève d’élevages ICPE, de méga-bassines, qui aligne les instances scientifiques et sanitaires sur les orientations politiques. Ce n’est pas notre agriculture. Celle de la Drôme, celle de notre pays même, qui dessine nos paysages, nous nourrit sainement, nous rend fiers et rend fiers celles et ceux qui la font, l’agriculture française, c’est une agriculture familiale, respectueuse, d’excellence, innovante, qui installe, qui rémunère, qui construit des liens avec le territoire.
Quelle est cette vision du bon sens qui voudrait, qu’en France, on s’aligne sur le moins-disant ? Après les normes environnementales, les normes sanitaires, ces représentants politiques vont-ils demander à ce que nous alignions notre SMIC sur celui de la Roumanie ou de la Turquie ?
Lundi 26 mai, une manœuvre procédurale inédite sous la Ve République a été utilisée pour passer la “loi Duplomb” en force : le vote par les partisans même du texte d’une motion de rejet, sans aucun débat, sur aucun amendement, sans aucun vote. Par peur, peut-être, de ne pas mobiliser assez dans leurs rangs, par pression de puissants lobbies, par honte de que ce texte leur inspire, tant il va à l’encontre de l’ensemble des alertes scientifiques et sanitaires. Ils se cachent derrière “l’obstruction” : derrière les 3500 amendements portés en étendard, ⅓ émanant de partisans du texte, ⅔ des opposants, pour un nombre d’amendements presque équivalent à ceux déposés sur le texte sur la fin de vie.
Chers concitoyens, chères concitoyennes, ce coup de force est inédit, et grave. Je sais votre attention à ces débats, en témoignent vos si nombreuses interpellations ces derniers jours, qui montre votre attachement à notre si belle agriculture drômoise que vous voulez protéger. Face à l’obscurantisme, face aux dénis démocratiques, je reste déterminée à toujours défendre l’intérêt général, à vos côtés. Nous continuerons à le faire, ensemble.
A lire, ma tribune publiée dans le Journal du Diois.
Une (courte) semaine dans la Drôme !
Ce vendredi 30 mai après-midi, je me rendais à la Fête de la Clairette du village d’Aurel 📍. L’occasion pour moi de venir réaffirmer aux producteurs de la vallée mon attachement plein et entier à soutenir leur filière, de la vigne au verre !
Viticulteurs, ouvriers, transformateurs distributeurs, syndicats, tous collectivement travaillent d’arrache-pied pour préserver une production de qualité qui fait vivre nos paysages et nos moments de fête sur le territoire. Je suis et resterai à leurs côtés !
Mes prochaines permanences parlementaires
Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées ! Notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :
👉 Vendredi 13 juin de 10h00 à 12h00 à Bourdeaux📍
👉 Vendredi 20 juin de 9h30 à 11h30 à Crest📍
👉 Vendredi 27 juin de 10h00 à 12h00 à Luc-en-Diois📍
👉 Vendredi 04 juillet de 10h30 à 12h30 à Buis-les-Baronnies📍
👉 Vendredi 18 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Paul-Trois-Châteaux📍
👉 Vendredi 25 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Jean-en-Royans📍
Pour prendre rendez-vous, veuillez nous écrire à marie.pochon@assemblee-nationale.fr ou nous appeler au 06 65 82 25 99.
J’ai hâte de vous rencontrer !
L’agenda de la semaine 🗓️
Lundi, après ma réunion d’équipe hebdomadaire j’ai embarqué dans le train de nuit Briançon-Paris avec 3 collègues député-es, des Hautes Alpes et de la Drôme, pour alerter sur la nécessaire pérennisation des investissements et de la volonté politique en soutien à cette ligne structurante sur le territoire !
Mardi matin, à mon arrivée à Paris 📍, j’ai pu déjeuner avec la direction de SNCF-Intercités ainsi que des représentants du Ministère des Transports en Gare d’Austerlitz puis j’enchaînais les réunions entre deux séances de Questions au Gouvernement et l’examen de plusieurs textes en séance.
Mercredi, j’organise une conférence de presse transpartisane contre l’accord de libre échange entre l’UE et le Mercosur. Je me réunirai ensuite avec le Bureau de la Commission Développement Durable et Aménagement du Territoire, puis nous examinerons en séance, je l’espère, selon l’avancée de l’ordre du jour, la proposition de loi visant à la pérennisation du dispositif Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée.
Jeudi, je participerai à l’examen en séance de la résolution sur l’abrogation de la réforme des retraites porté par le Groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine (Communiste) lors de leur niche parlementaire puis j’assisterai à la première réunion du Groupe de Travail ministériel sur la publication des doléances au Ministère des Relations avec le Parlement : affaire à suivre, donc !
Vendredi, je rencontrerai les acteurs de la régie agricole municipale de Mouans Sartoux 📍, et les étudiants du DU “Chef-fe de projet alimentation durable”. Enfin, dimanche, je me joindrai à la remise des prix de la course des “Balcons de la Drôme” à Piégros-la-Clastre 📍, puis je me rendrai à la Vogue de Suze-la-Rousse 📍.
Au plaisir de vous (re)voir,
Votre députée,
Marie Pochon