Jeudi 22 mai, on célébrait les 40 ans du Label Bio
Toute cette semaine vous avez peut-être vu à la télévision démarrer une grande campagne de promotion des produits en Agriculture Biologique, visant à accompagner la commercialisation face aux pratiques de doublement des marges, face aussi aux campagnes féroces menées par l’agro-industrie et les enseignes de grande distribution contre le bien manger.
Face, également, à la démultiplication des labels (plus de 400 labels et allégations qui existent !) qui détournent les consommateurs des bons produits, de l’absence d’étiquetage, de l’absence de prise en compte des coûts cachés de l’alimentation. Cette grande campagne n’aura malheureusement, pas fait long feu :
les budgets qui lui étaient alloués viennent tout simplement d’être supprimés par décret, par Annie Genevard, Ministre de l’Agriculture, avec ⅔ de baisse du budget décidés en début de semaine dernière.
Face à l’effondrement des populations d’insectes et de pollinisateurs qui doit nous inquiéter sur notre capacité à produire demain (au-delà des conséquences sur les oiseaux et tous les équilibres écosystémiques !). C’est un choix politique délétère pour notre souveraineté que cette décision entérine : celui d’une Ferme France dépendante d’engrais, d’alimentation, d’énergie, de pesticides venus de l’étranger dans une période d’instabilité géopolitique et climatique majeure. C’est le choix de la perte d’autonomie et d’un court-termisme qui menace l’installation agricole comme notre productivité demain.
Alors, aujourd’hui, je suis inquiète, aux côtés des consommateurs-rices, aux côtés de toutes celles et ceux qui aimeraient en être mais qui n’en n’ont pas les moyens, aux côtés aussi des 60 000 fermes en agriculture biologique de notre pays, de ceux qui aujourd’hui cultivent sur plus de 30% de la Surface Agricole Utile de notre département. Mais nous continuerons à nous battre pour une agriculture rémunératrice, durable, autonome, et qui rend fière la Drôme et la France. Et nous célébrerons celles et ceux qui se battent malgré les vents contraires, à vos côtés !
Voilà pourquoi je me rendais donc ce jeudi matin, sur la ferme de Jean Maxime Buisson, à Bourdeaux 📍, l’une des 1200 fermes du département en Agriculture Biologique.
Ici dans la Drôme, il existe une hybridation des modèles et des systèmes, des agriculteurs qui collaborent, des circuits longs et des circuits courts. Alors que nous étudions la proposition de loi Duplomb à l’Assemblée Nationale, quel travail formidable ai-je pu découvrir sur la ferme Bio Bosquet !
Là bas, ce sont 3 personnes qui vivent et travaillent dignement (avec des vraies 35h☺️), avec 4 poulaillers, 3000 poules pondeuses bio en circuit court, 27 ha de céréales. Un modèle économique de la ferme qui est stable et durable : la productivité s’allie ici avec l’accueil de la biodiversité tout en considérant les conditions de travail. C’est une entreprise qui fournit une alimentation locale, saine, qui prend soin de ses poules et des œufs que nous mangerons demain. Tout cela en dégageant du temps à son dirigeant pour s’impliquer et s’engager et défendre ses collègues des petites exploitations drômoises (Agribiodrôme, FNAB, ITAB). Merci pour cet accueil, et pour cet espoir, qui nous rappelle que partout il y a des entreprises qui prospèrent avec une agriculture exemplaire, nourricière, territoriale et productive.
Et c’est le cas aussi à Eurre 📍, où je me suis rendue l’après-midi, à l’occasion de la venue du VP Agriculture de la région.
« On nous dit : Vous faites un beau métier. Et puis quand on nous vole des ruches, quand on travaille sous 40 degrés, quand les abeilles meurent, ou sont désorientées, on doute. Mais quand on voit les étoiles la nuit en transhumance, alors on sait pourquoi on fait ça.«
Quand on sait que 30% du rendement du colza dépend directement de la pollinisation, on se rend compte que l’apiculture, et le soin porté aux pollinisateurs, est un maillon essentiel de l’ensemble de notre chaîne alimentaire et du vivant au sens large. C’est le cas à la miellerie de Nicolas Dallet, Drôme d’Abeille, à Eurre où 200 ruches cohabitent avec des activités pédagogiques innovantes.
Aléas climatiques, intoxications suite à des traitements chimiques en agriculture, monoculture, importation de miels frauduleux, commercialisation, gestion du varroa…en quelques années, les rendements se sont dramatiquement effondrés. Merci pour cette belle occasion, dans un moment si crucial pour notre agriculture et notre apiculture, d’échanger avec de nombreux apiculteurs de Drôme et d’Ardèche : Nicolas, Pierre, Corinne, Emmanuel, Jeremie, membres de l’ADA AURA qui les fédère, les forme, les met en réseau. Merci à Nicolas pour son accueil et bravo à lui pour ce magnifique projet, merci également à Jean Serret, Président de la Communauté de Communes du Val de Drôme et Christian Caillet pour leur soutien à cette installation.
Et en parlant d’élus locaux, les drômois savent être à la hauteur ! Après ma visite à Drôme d’Abeille, je rencontrais une partie de l’exécutif de la CCVD, à son siège à Eurre 📍.
Nous avons pu y échanger sur la pérennisation du dispositif Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée, déployé sur le territoire, pour laquelle je me battrai, dès la semaine prochaine, pour la garantir via une proposition de loi transpartisane dont je suis co-signataire (je vous en dis plus bien vite ).
Mais nous avons échangé également sur la mise en place, au niveau de l’intercommunalité, du congé menstruel, dispositif que nous avons porté avec mon groupe et enfin d’un formidable plan agricole et alimentaire à l’horizon 2050 pour ce grand et beau territoire rural qu’est le Val de Drôme, adopté récemment par les élu-es du territoire !
Et je crois, sincèrement, que j’ai rarement été aussi émue de lire une telle délibération : alors qu’à l’Assemblée Nationale on se bat tel David contre Goliath pour que chacun-e retrouve du bon sens, le sens du commun, le sens du vivant,, ici, sur un territoire rural et agricole, cette collectivité a délibéré pour une stratégie agricole à l’horizon 2050, une vision chiffrée, une boussole pour accompagner la rupture des systèmes agricoles. Cette vision, elle contrecarre la loi Duplomb. Elle est la feuille de route d’un territoire qui ne se laisse pas dicter ses orientations par les lobbyistes. Une collectivité qui connaît l’agriculture, qui l’accompagne depuis 40 ans, et qui sait que soutenir l’agriculture cela demande du courage.
Une collectivité qui avance pas à pas, pas dans le temps politique mais dans le temps long. C’est un honneur et un privilège pour moi de compter cet EPCI dans ma circonscription. Ce que nous n’arrivons pas à faire à Paris, les territoires le font localement. Quelle fierté ! 👏
Le déplacement de la semaine : direction le Trièves !
« Ce que j’aime bien dans mon mandat de Maire, c’est d’être facilitatrice.«
J’étais ce lundi au Percy📍, commune du Trièves, aux côtés de Guillaume Gontard, sénateur de l’Isère, et Daniel Salmon, sénateur de l’Ille et Vilaine, spécialisé sur les questions agricoles. Nous avons eu l’honneur de visiter cette petite commune rurale et de montagne de 167 habitant-es, très dynamique : entre l’achat d’une ancienne colonie de vacances de 5ha pour construire des habitations et des locaux commerciaux et associatifs (sorbeterie, ACCA, charbonnerie, activités agricoles), la rénovation de gîtes communaux, la mise en place d’une expérimentation pour accueillir des habitats légers, un restaurant communal, tout cela alimenté grâce à la production des centrales villageoises, le Percy est un village vivant qui permet à chacun-e d’y construire son avenir !
Nous avons rencontré notamment Roberto, qui produit des champignons avec sa compagne installée en vannerie, ainsi que des agriculteurs en PPAM ou en arboriculture qui ont monté une SCIC, portant le premier drive rural du coin ! Benjamin, avec eux, est installé depuis 2008 en tant que paysan boulanger, avec deux salarié-es.
Il produit son blé et sa farine, et commercialise sa production via les biopaniers, un magasin de producteurs, en parallèle de la création d’une activité de restauration. Ce sont des choix politiques audacieux, qui ont permis aux différents conseils municipaux d’acheter des logements et des locaux pour ensuite les louer à bas coût pour installer de l’activité et de nouvelles familles. Grâce aux revenus des gîtes, la commune peut employer, en plus d’une secrétaire de mairie à temps partiel, un employé communal à 35h/semaine pour assurer le transport scolaire, le fonctionnement du réseau de chaleur, ou encore la gestion des gîtes. Bravo à tou-tes ces habitant-es, entrepreneurs-euses et élu-es dynamiques qui sont si inspirant-es pour la revitalisation de nos villages et de nos campagnes ! Merci infiniment pour ces belles rencontres !
Puis nous sommes allés visiter la ferme de Ser’Clapy, l’une des 25 fermes de la petite commune de Mens qui fait honneur à la diversité des productions : chèvres, vaches, cochons, boucs, leur élevage en plein air est possible grâce au travail acharné de 5 associés installés sur une petite surface qu’ils ont obtenu grâce au concours de Terre de Liens.
Une ferme exemplaire, diversifiée qui emploie du monde et qui économise sa matière, c’est celles là que nous voulons soutenir !
Et dernière étape enfin au Domaine des Hautes-Glaces à Saint-Jean d’Hérans , la première ferme de whisky bio au monde ! Autour du fondateur et agronome Fréderic Revol, qui nous a accueilli, ce sont 16 structures qui participent à la distillation d’un « whisky de pays » directement depuis l’orge locale et avec plusieurs autres céréales dans une approche « vigneronne » qui diversifie les espèces pour participer à la qualité du produit comme à son intérêt agronomiques !
Une visite impressionnante pour découvrir des méthodes de haute valorisation des produits et un chai gigantesque !
L’annonce de la semaine : Rejoignez mon équipe !
On recrute dans la Drôme pour m’aider dans la communication (d’ores et déjà de fort grande qualité vous en conviendrez ) mais également la gestion administrative, logistique et organisationnelle de mon mandat (tetris d’agenda, logistique événementielle, gestion d’enveloppes parlementaires à prévoir ! 🙂). Si vous souhaitez soutenir les initiatives territoriales, et la construction d’une belle dynamique au service d’une gauche et d’une écologie rurale et populaire dans la Drôme et dans tout notre pays :
C’est tout simple, vous nous envoyez à marie.pochon@assemblee-nationale.fr votre CV et une lettre nous racontant tout ce que vous avez envie de faire avec nous et on aura plaisir à vous rencontrer !
Dernier délai pour les candidatures le 4 juin à minuit !
Une semaine dans la Drôme
Jeudi, entre plusieurs déplacements liés au soutien à nos agriculteurs en agriculture biologique, je me rendais à Pont de Barret 📍 pour une journée dédiée à la jeunesse. Porté par la fédération des MFR, ce magnifique projet d’éducation populaire regroupait sur 2 jours 140 jeunes issus des MFR, du CFA de Livron et du collège de l’Archipel à Allex. Ils ont dormi en tente dans un cadre absolument magique tout en bénéficiant d’ateliers proposés par les associations locales comme La Louve, Biovallée…bravo à elles et eux !
Avec Maud Grard, j’ai été interviewée par deux jeunes sur mon engagement, le rôle de mon mandat et son impact, sur Radio Saint Ferréol. Bravo et merci aux organisateurs, et au plaisir de revenir l’année prochaine !
À Dieulefit j’ai eu l’honneur de participer à la pose de la première pierre de la nouvelle école Juncher. Le projet, ambitieux, de regrouper les écoles maternelle et élémentaire dans un même lieu a été longuement et mûrement réfléchi par un groupe de travail large composé d’élus, de membres de la communauté enseignante, de parents d’élèves et d’habitants : Bravo et merci pour cette co-construction si innovante et essentielle.
Enfin, jeudi soir je suis passée à l’Assemblée Générale de Dwatts : une coopérative citoyenne de production d’énergie qui est un maillon essentiel du développement des énergies renouvelables dans la vallée de la Drôme. Avec une gouvernance qui laisse largement la place aux détenteurs de part qui sont des citoyens, des collectivités, des entreprises, Dwatts propose un modèle éthique et responsable pour un déploiement harmonieux des énergies propres, contribuant activement à la transition énergétique.
Je suis venue leur réaffirmer mon engagement et mon soutien pour que notre département soit un phare dans ce domaine auquel je suis particulièrement attachée. Bravo à eux et merci pour l’invitation !
Vendredi, je vous recevais à ma permanence parlementaire à Montélier, avant de me rendre au service Soins Palliatifs de l’Hôpital de Crest, dans le contexte de la discussion, à l’Assemblée Nationale, des textes sur l’accès aux soins palliatifs et à la fin de vie.
« Les vrais petits bonheurs de l’existence prennent tout leur sens à ce moment de la vie. Et nous, on fait tout pour rendre cela possible. »
On associe bien souvent les soins palliatifs à la mort, alors ça fait peur. Or, les soins palliatifs, c’est avant tout accompagner la vie. J’ai été reçue par une équipe incroyable qui a pris le temps de m’expliquer le sens de leur travail, la singularité de leur quotidien. Nous avons parlé de transdisciplinarité, d’une médecine qui met l’humain au cœur du dispositif, qui permet à chacun, chacune, et aux familles également, d’avancer de façon apaisée dans la gestion de la douleur, et aussi dans le deuil.
Nous avons aussi parlé des difficultés de recrutement, tout en revenant sur la joie des personnes qui travaillent dans ce service, du lien aux associations qui est incroyable, de la satisfaction et du sens de cette médecine. A Crest, ce sont 9 chambres, une unité mobile, et également le second plus grand service d’hospitalisation à domicile public de France.
Depuis plus de 30 ans il y a ici ce soin, cette culture de la qualité de vie au cœur de l’accompagnement des personnes. Merci à elles et eux de rendre de la dignité et de la vie à ces périodes de la nôtre qui sont si difficiles.
Puis ma collaboratrice me représentait, à notre local pour recevoir les salariés et représentants des syndicats de France Travail. L’échange a principalement porté sur la loi plein emploi et les 15h d’activité hebdomadaire obligatoires pour les bénéficiaires du RSA, et sur ses répercussions à la fois sur les usagers, sur les équipes, et sur la relation qui les lie. Difficultés pour les équipes, qui, a effectif constant, ont davantage d’usagers et à la fois plus de temps à passer avec chacun pour la mise en place et le suivi des contrats d’engagement. Ces 15h d’activité, leur mise en place, leur suivi, à effectif constant, c’est autant de temps en moins à créer la relation de confiance, celle qui est propice à l’accompagnement, et à la réussite des parcours. Cela crée un sentiment de perte de sens. En lien avec mes collègues, nous interpellerons le gouvernement sur le contenu des décrets à venir.
Vendredi soir, j’avais le plaisir de célébrer la rénovation de la petite école d’Autichamp en présence des élu-es du territoire, de la sous-préfète, de la directrice de l’école et des nombreuses familles venues célébrer ce beau moment ! Cette école, ce média de la République, qui opère dans le petit village d’Autichamp , elle conjugue performance énergétique, inclusion, éducation, écologie et qualité de vie; et c’est un si puissant message qu’ils adressent ici à tous ceux qui disent que tout cela commence à bien faire ou qu’on a plus les moyens de toutes ces ambitions.
C’est également un puissant message qu’ils envoient à tous les petits d’Autichamp et des villages du RPI qui grandiront tant ici, pour encore des générations. Que vive l’école Républicaine ! Que vive Autichamp !
Ce samedi c’était l’une des journées nationales de la Croix Rouge, d’où ma venue à l’union locale de l’association à Die📍 L’association fait un immense travail, partout dans le pays, mais également dans le Diois, pour venir en secours aux plus démunis et faire vivre la solidarité dans nos ruralités. Ici dans le Diois, ce sont près d’une trentaine de familles qui bénéficient de leur aide alimentaire, beaucoup plus qui passent à la Vesti’Boutique qu’Henriette dirige avec passion pour permettre à toutes et à tous d’avoir accès à la dignité, et chacune, chacun, à l’accès aux soins de premiers secours que l’association et ses bénévoles engagé-es dispensent, notamment, lors des petits et grands événements du territoire. Merci pour leurs actions que j’ai eu le plaisir de soutenir dans leur quête annuelle sur le marché de Die.
Puis direction la toute nouvelle école de Solaure-en-Diois📍où j’étais déjà venue l’année dernière pour voir les travaux qui débutaient tout juste. Ce samedi j’ai eu l’honneur d’inaugurer ce beau bâtiment qui est le fruit d’un travail conjoint entre le conseil municipal et le cabinet d’architecte local CocoArchitecture de Crest. Matériaux locaux, isolation, panneaux photovoltaïques, ici au Pied du Vercors, Solaure-en-Diois montre que bien loin des plateaux télé, chez nous, dans nos ruralités, la transition écologique on sait la faire, on sait la réussir. Bravo pour cette si belle réalisation au service de nos enfants !
Je suis ensuite passée au festival organisé par le Réseau Diois d’Accueil des Migrants, un moment de convivialité sincère autour d’un beau repas partagé à Die 📍J’ai pu échanger avec toutes celles et ceux qui, chaleureusement accueillis dans la Drôme, travaillant et habitant sur le territoire, souhaitent désormais avancer dans leur citoyenneté et obtenir la nationalité française ! Ici, en France et dans la Drôme, ils trouveront des personnes accueillantes, bienveillantes, généreuses, curieuses et aimantes : car c’est là notre identité et c’est là notre fierté.
Je rejoignais ensuite les magnifiques routes de Combe Laval 📍s’émerveille, un festival culturel porté fièrement par les élu-es du territoire ! Danseurs, chanteurs, peintres, artistes de théâtre, de tous âges et de tous horizons se sont réappropriés les routes du Vercors pour y faire vivre la culture avec un grand C, la culture en campagne, dans le paysage magnifique de Combe Laval ! Bravo aux organisateurs, et aux enfants venus si nombreux nous émerveiller, c’était un bonheur de vous rencontrer !
Enfin, ce samedi soir, nous avions le plaisir de percevoir les réunions d’associations, les mariages, les vogues et les bals, les votes et même les meetings de campagne 😉 qui auront lieu dans cette belle salle des fêtes rénovée de la-Chapelle-en-Vercors 📍que je suis venue inaugurer aux côtés d’autres ! Un investissement important du Maire Jean-Michel Tarin et de toute l’équipe municipale qui ont su mobiliser les élu-es du territoire, la fondation du Patrimoine, les associations, les entreprises et artisans pour rénover entièrement cette salle des fêtes de la Chapelle en Vercors 📍 qui avait déjà bien vécu 😅.
Ce lieu désormais rénové, isolation, chaudière au bois local, système électrique pourra à nouveau accueillir tou-tes les citoyen-nes du Vercors. Bien plus qu’une salle, c’est si important de voir ces lieux vivre et revivre : des lieux de rencontre, qui font de l’individualisme l’exception, de la solidarité la règle, qui font de la discussion notre bien commun, qui font de la fête le ciment de nos villages ! Pour concrétiser cette belle promesse collective, le conseil municipal a décidé de faire une grande photo de famille avec tous les habitant-es présent-es juste devant la salle des fêtes ! Merci et bravo ! 👏
Mes prochaines permanences parlementaires
Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées ! Notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :
👉 Vendredi 13 juin de 10h00 à 12h00 à Bourdeaux📍
👉 Vendredi 20 juin de 9h30 à 11h30 à Crest📍
👉 Vendredi 27 juin de 10h00 à 12h00 à Luc-en-Diois📍
👉 Vendredi 04 juillet de 10h30 à 12h30 à Buis-les-Baronnies📍
👉 Vendredi 18 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Paul-Trois-Châteaux📍
👉 Vendredi 25 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Jean-en-Royans📍
Pour prendre rendez-vous, veuillez nous écrire à marie.pochon@assemblee-nationale.fr ou nous appeler au 06 65 82 25 99. J’ai hâte de vous rencontrer !
L’agenda de la semaine 🗓️
Suite à une erreur dans l’envoi de mes journaux de bord (mes excuses!), je vous renvoie un bout de mon programme ainsi que des informations sur ma semaine à venir. Ce lundi, j’étais donc à Paris pour l’examen de la proposition de loi “Duplomb” (je vous raconte vite, il n’a finalement pas eu lieu).
Mardi et mercredi, entre deux séances, j’ai rencontré le cabinet du ministère de l’enseignement supérieur sur les doléances du Grand Débat National, avant de voter sur les projets de loi sur la fin de vie et les soins palliatifs. Le soir, nous commencions en commission des affaires sociales l’examen de la PPL visant à pérenniser l’expérimentation Territoires zéro chômeur longue durée, sur laquelle je suis cheffe de file pour mon groupe !
Vendredi, dans la Drôme, je participerai à la Fête de la Clairette à Aurel !
Dès la semaine prochaine, je serai de nouveau à Paris, pour l’examen en séance de la loi pérennisant les Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée notamment, ainsi que pour la journée parlementaire de la Gauche Démocrate et Républicaine. Je vous en dis plus très vite.
Au plaisir de vous (re)voir,
