L’édito de la semaine d’Héloïse, en stage avec nous ces deux dernières semaines
Je suis heureuse dans cet édito de vous faire part de mon expérience pendant ces deux semaines de stage auprès de Marie Pochon et de toute son équipe.
Après un an sur les bancs de la fac à étudier la science politique, voilà une belle occasion de comprendre les enjeux politiques qui se nouent entre la vie locale et la gouvernance nationale. Pour cela, quoi de mieux que de suivre Marie Pochon, députée très impliquée dans sa circonscription.
Au cours de ces deux semaines, j’ai pu rencontrer des citoyens désireux d’interpeller leur députée à propos de projets pour animer leur territoire, des élus locaux mais aussi des acteurs associatifs.
J’ai aimé voir toute la richesse de notre vallée et ces énergies qui se déploient au niveau local dans le but d’agir concrètement dans la vie des gens.
Et tous ces échanges trouvent leur écho à l’Assemblée Nationale où j’ai eu la chance d’être accueillie par Marie et son équipe parisienne. Se retrouver au cœur des débats parlementaires fut passionnant. Voir toutes ces revendications défendues au sein de l’hémicycle me laisse à penser que ça vaut la peine de poursuivre les efforts.
Ce stage fut pour moi très enrichissant ! Je remercie chaleureusement Perrine, Marie, Lancelot, Arthur et Clothilde.
Héloïse Guillonneau–Cubilie
Merci chaleureusement à Héloïse pour sa présence parmi nous ces quinze derniers jours ! 🥰
Je voulais quant à moi vous dire un mot, plus grave, sur l’état du monde, et quelques résonnances que j’en tire, dans mes déplacements récents.
Le monde brûle. Ce matin, le régime Iranien, en réponse aux attaques Israéliennes il y a quelques jours ayant touché des civils, a annoncé des frappes massives sur Israël. Pendant que Gaza pleure ses dizaines de milliers de morts, ses bâtiments rasés, sa famine organisée ; pendant que nous apprenions ce matin la mort de 14 civils ukrainiens du fait de nouveaux bombardements russes ; la grande guerre idéologique et “civilisationnelle” que certains nous préparent faite de l’occident démocratique contre la barbarie, masquant difficilement des soubassements racistes, prend le pas sur tout le reste.
Et partout, on entend des discours visant à créer des blocs, à fracturer, à classer dans un camp ou dans l’autre chacun-e. Visant à justifier l’innommable, l’inhumain, l’arbitraire. Ces discours sont éminemment dangereux. Pour les civils à Gaza, en Cisjordanie, en Israël, en Iran ou en Ukraine, bien évidemment, en premier lieu, sur qui pleuvent les bombes de décideurs irresponsables qui manipulent les opinions, et qui sont les tragiques victimes d’un jeu de puissance et de domination par la force plutôt que par le droit.
Pour nos démocraties, l’enjeu est immense : celui de la soumission à l’arbitraire, aux idéologies “civilisationnelles”, ou bien de défendre et protéger, de manière ferme et déterminée, le droit international, et l’état de droit. C’est ce qui rejaillit aujourd’hui, quand des députés du RN au camp présidentiel se mettent à défendre tranquillement l’usage de la torture ou le kidnapping, dans les eaux internationales, de concitoyens français ; c’est ce qui transparaît de l’abandon de la promesse Présidentielle de reconnaître l’état Palestinien – décision face à laquelle nous nous mobilisions ce mardi matin ; alors même que dans cette incertitude et dans ce chaos, la seule ligne que devrait suivre la France est celle du droit, tout le droit, rien que le droit.
C’est ce que j’ai toujours défendu, quand je me suis rendue en Cisjordanie en janvier dernier, et avec mon groupe avec qui nous ne cessons de dénoncer l’arbitraire des rapports de force, que ce soit en Israël/Palestine ou en Ukraine, derrière lequel la diplomatie Française se place désormais.
Défendre la paix, défendre le droit international, toujours. Et en parallèle, bâtir notre souveraineté.
Une autre ligne, stratégique, devrait être celle de la construction de notre autonomie et de notre souveraineté, en premier lieu à l’échelle Européenne. Bâtir une agriculture résiliente et la moins dépendante possible en importations (de produits agricoles, d’intrants de phytosanitaires, d’engrais azotés qui financent directement l’effort de guerre russe (!!!)), construire notre autonomie énergétique (à l’heure où la “transition” ne consiste qu’à accumuler les modes d’énergie et où nous restons dépendants du pétrole, du gaz ou de l’uranium étrangers, tout en affaiblissant les politiques publiques visant à l’efficacité énergétique et à la sobriété), et réindustrialiser par un maillage territorial notre pays sur les secteurs stratégiques.
Ce sont ces combats que je porte au quotidien dans l’hémicycle, vous le savez. En cohérence, en transparence.
Alors, ce jeudi, je me rendais dans l’Ain, où je visitais l’entreprise COFIEM electronics à Trévoux accompagnée de mes collègues conseillers régionaux Maxime Meyer et Albane Colin.
Le rôle de COFIEM est crucial dans notre système mondialisé puisqu’ils proposent une solution de reconditionnement des cartes électroniques pour le matériel industriel plutôt que de racheter des matériaux neufs.
La réindustrialisation, l’autonomie stratégique, c’est précisément préserver ce type d’entreprises, sur nos territoires ruraux. Mais c’est aussi le combat pour protéger Vencorex, ses salarié-es et tou-tes celles et ceux qui en dépendent, en Isère et dans la Drôme.
Je vous en parlais récemment, je m’étais rendue avec une délégation écologiste sur la plateforme chimique de Pont-de-Claix et Jarrie pour rencontrer les syndicats de Vencorex et Arkema, menacés de fermeture, laissant près de 600 salariés sur le carreau.
Face à la potentielle perte de l’une de nos industries stratégiques, ma collègue Cyrielle Châtelain a déposé une proposition de loi co-signée par 99 député-es, pour demander la nationalisation temporaire de l’entreprise Vencorex.
C’était d’ailleurs l’un des sujets évoqués avec nos amis communistes lors de la Fête des Allobroges ce dimanche à Portes-les-Valence.
Et partout là où elle a disparu, du bassin minier du Pas de Calais jusqu’aux rives du Rhône, nous Écologistes souhaitons porter une réindustrialisation exigeante au service de la création d’emploi, comme au service de la transition écologique et à la revitalisation de nos territoires : nous présentions nos positions à l’automne dernier dans la Drôme à l’occasion de la venue de mon collègue Charles Fournier.
Je voulais donc vous partager aujourd’hui mes attentes, mes espoirs et mes joies car je crois que bien au-delà d’une forme de repli, cette situation doit nous amener à nous réinventer. Et cette réinvention, face aux bouleversements du monde, et le manque total de vision de nos dirigeants, elle vient bien souvent d’en bas :
- pour la paix, des initiatives citoyennes qui naissent partout, des manifestations monstre à Bruxelles, aux tractages chaque jeudi à Saint Jean ou à Crest ; des flottilles de la liberté, aux marches pour Rafah ;
- pour la souveraineté et la fin de nos dépendances mortifères, de celles qui financent les pires régimes : de la volonté d’entrepreneurs, d’industriels, de salarié-es, de citoyens, d’élu-es. Chaque jour, à votre rencontre, j’observe votre mobilisation, votre engagement et votre attachement à défendre l’exigence du bon sens de l’autonomie stratégique, de la qualité du bien-être au travail et du respect de notre environnement et de nos principes.
Le combat de la semaine : défendre le pastoralisme !
Ce vendredi soir, dans le cadre de la fête de la Transhumance qui ouvrait ses portes le samedi matin (voir plus bas), j’étais au cinéma Le Pestel, à Die 📍pour vous présenter, en amont de la projection du film “Berger”, notre Mission d’Information sur le Pastoralisme ! 🐑
Vous étiez nombreux à venir comprendre ce qu’est une Mission d’information, ce qu’est aussi le pastoralisme en France et surtout ce que l’on propose pour le pérenniser !
Avec des collègues de tous bords politiques, pendant un an, nous avons sillonné le territoire et auditionné plus d’une centaine d’acteurs pour aboutir sur 45 propositions qui nous permettront je l’espère demain de perpétuer un modèle d’élevage vertueux qui valorise nos paysages, qui protège du risque incendie, qui favorise la biodiversité et revitalise nos territoires ruraux, face aux grands défis de ce siècle.
Bien évidemment, je vous tiendrai au courant des suites, notamment législatives, que nous y donnerons !
Et donc ce samedi c’était jour de fête à Châtillon-en-Diois , et pas n’importe quelle fête : celle de la Transhumance qui marque le début de l’été, celle aussi de la Clairette de Die qui l’accompagne ! Face aux difficultés qui parfois s’accumulent sur ces cultures qui font notre histoire, qui façonnent nos paysages et ravissent nos papilles, nous devons et devrons être chacun à notre poste :
Pour défendre des solutions d’avenir, pour protéger les éleveurs et les vignerons, pour accompagner la vie ensemble dans nos campagnes, entre habitant-es et producteurs-rices. Chacun à son poste pour valoriser ces vins pétillants produits de méthode ancestrale, dans chacun de nos villages, politiques publiques, restaurants, vogues et commerces ; chacun à son poste également, pour protéger les éleveurs pastoraux de nos vallées et estives : des coopérations locales aux travaux parlementaires.
Bravo pour cette belle fête que sait si bien faire rayonner Châtillon-en-Diois, et que vive le pastoralisme, que vivent les vins du Diois (à consommer avec modération), que vivent ces jours heureux qui nous rassemblent et que vive la Drôme !
Le texte de la semaine : la taxe Zucman rejetée au Sénat
Après son adoption à l’Assemblée nationale, la taxe Zucman de 2% sur le patrimoine des ultra-riches, arrivait au Sénat jeudi dernier, dans la journée parlementaire du Groupe Écologiste. 20 milliards qui pourraient venir financer nos services publics, la transition écologique, l’aide aux plus vulnérables, et faire effet levier au niveau Européen pour embarquer notre continent sur le chemin d’une véritable justice fiscale : en effet, si les classes moyennes et populaires sont imposées en moyenne à 50% de leurs revenus, l’imposition des 1800 ménages les plus fortunés dans notre pays ne dépasse pas les 30% !
Vous trouvez cela absurde et injuste ?
Pas les sénateurs de droite, d’extrême droite et du centre, qui ont rejeté ce texte à 30 voix ! Ce texte a été refusé par celles et ceux qui sont censés représenter nos territoires, refusé par celles et ceux qui, chaque jour, dans leurs départements, voient pourtant la désertion des services publics, l’alerte criante des collectivités et le ras-le-bol citoyen d’une fiscalité à deux vitesses. Nous ne lâcherons bien évidemment rien !
Le chiffre de la semaine !
En moyenne, le patrimoine net de l’ensemble des membres du Gouvernement s’élève à 2 620 000€. Comme le révélait la semaine dernière Libération, c’est “légèrement” plus que le patrimoine net moyen des françaises et des français, qui grimpe, lui, à 215 000€.
Un gouvernement de millionnaires, qui coupe dans les crédits pour l’adaptation face aux changements climatiques, qui coupe aussi dans les dépenses liées à l’éducation et à la santé, qui nous dit, enfin, qu’on n’a plus les moyens de vivre décemment, que chacun devra faire des efforts. Qui refuse que l’on oblige les plus aisés à contribuer équitablement à l’effort budgétaire, à la hauteur de la contribution de toutes et tous.
Un gouvernement de millionnaires qui s’oppose fermement à l’équité fiscale, et qui préfère nous occuper en parlant répression, ordre, et autorité.
La déconnexion totale.
On continue la bataille des doléances dans l’Ain
Ce jeudi, j’ai eu la chance de me rendre aux archives départementales de l’Ain accompagnée de Maxime Meyer et Albane Colin, conseillers régionaux Écologistes pour consulter les cahiers de doléances de 2019 (et même des exemplaires de 1789!!). Après un long combat mené par les associations, les collectifs citoyens et les collègues députés qui ont soutenu ma proposition de résolution transpartisane, les cahiers de doléances sont enfin accessibles au grand public, sans besoin de dérogation.
Demande de justice fiscale avec le retour de l’ISF, maintien et réouverture de services publics, abolition des privilèges, notamment aux élu-es après leur mandat, revalorisation des petites retraites et des salaires, RIC, transition écologique juste…
Tant de propositions dans 207 cahiers sur les 393 communes de l’Ain qui n’ont pas été écoutées au sommet de l’État depuis 6 ans maintenant.
Aux archives départementales de l’Ain, où Anne Gerardot nous a si chaleureusement accueilli-es, la numérisation a repris il y a un mois et demi « on sentait que les choses étaient en train de bouger », et devrait être terminée, avec l’anonymisation, d’ici quelques mois.
Un grand merci à Mme la directrice des archives départementales de l’Ain pour son accueil ainsi qu’à toutes les personnes qui travaillent pour rendre ces données anonymes et accessibles à toutes et tous. Demain, j’espère que ces doléances seront accessibles en ligne; et que les représentants politiques, partout dans le pays, sauront les lire, et enfin considérer la parole citoyenne.
On continue !
Une semaine dans la Drôme
Je démarrais (tardivement) cette semaine dans la Drôme avec, vendredi matin, ma permanence parlementaire en mairie de Bourdeaux .
J’ai pu y écouter vos soucis, vos projets, tenter de vous conseiller et de vous accompagner au mieux, essayer, comme à mon habitude, de ne laisser aucun-e d’entre vous au bord du chemin. À vos côtés, comme toujours.
Puis j’avais rendez-vous avec l’association Clair-Soleil dans les locaux de leur Foyer Piccard à Dieulefit 📍 . Depuis 1956, cette structure est un vrai modèle d’inclusivité sur notre territoire avec ses deux pôles : l’un dédié à l’enfance qui veille à l’accompagnement médico-social de 160 jeunes sur de nombreux territoires de la Drôme des collines jusque tout au sud du département ; l’autre dédié aux adultes et qui emploie 45 salarié-es en situation de handicap mental au sein de l’entreprise adaptée ADEFI à Dieulefit 📍.
Clair Soleil, c’est aussi 2 services financés par le Conseil Départemental (SAVS et Foyer appartement) et 2 autres par l’ARS (ESAT et habitat inclusif) qui permettent à toutes et à tous, au-delà des différences, de vivre et travailler au Pays dignement.
Merci à elles et eux pour leur temps et leur engagement en faveur de l’égalité des droits même dans nos campagnes : je défendrai partout où il le faudra des financements, de la reconnaissance et de la valorisation pour ces structures qui font vivre notre territoire et qui rendent les gens dignes et fiers.
En fin d’après midi et avant de me rendre à Die 📍 pour présenter le rapport de la Mission d’Information sur le pastoralisme, je rencontrais les élus du Poët-Laval pour échanger avec eux sur leurs problématiques de subventions de l’État notamment pour leurs projets locaux, sur lesquelles je vais tenter de les aider auprès des services gouvernementaux.
Samedi soir, après une riche matinée à la Fête de la transhumance et de la clairette de Die à Châtillon-en-Diois📍, j’avais l’honneur d’inaugurer un nouveau bistrot-restaurant. Son adresse ? Tout juste au centre du monde !
Il y a 240 millions d’années, les terres émergées formaient un méga-continent appellé la Pangée. Et son exact centre, selon les spécialistes, se trouvait à…la Baume Cornillane 📍, chez nous dans la Drôme !
240 millions d’années plus tard, au centre du centre du monde, donc, nous inaugurions ce samedi par la force et la volonté d’habitant-es et d’élu-es, un nouveau bistrot-restaurant, La Pangée, porté par une association d’habitant-es, et permettant à toutes et tous, du village et des alentours, de se retrouver, de se rencontrer, de (très bien) manger, (quasi) à domicile !
Bravo aux habitant-es, bravo aux élu-es, bravo à la joie et la détermination qui rebâtissent des petits commerces, de la vitalité dans nos communes, et qui dessinent l’avenir et les jours heureux dans nos campagnes ! Longue vie à La Pangée !
Je rejoignais ensuite Montclar-sur-Gervanne 📍pour sa célèbre vogue organisée par l’association des jeunes du village. Un bel évènement qui doit nous rappeler que dans une actualité parfois pesante, ces moments de légèreté, de convivialité, d’échange et de partage sont les biens les plus précieux que nous nous devons de préserver.
Merci à vous toutes et tous qui faites vivre nos villages ! 🥰
Dimanche, je dégustais une délicieuse paëlla avec les camarades communistes de toute la Drôme et Fabien Gay, sénateur et directeur du Journal “L’Humanité”, à la Fête des Allobroges du PCF26 à Portes-les-Valence 📍.
C’était un plaisir et un honneur que d’avoir été conviée à cette superbe journée où l’on a parlé Sécurité Sociale et histoire du journal l’Humanité autour d’un beau repas de fête pour son 120 ème anniversaire !
Je me rendais ensuite à l’événement Affronter l’orage à Valence 📍avec ses ateliers, ses tables-rondes, ses rencontres ou son village associatif pour préserver nos liens, faire front commun, se former et résister face aux idées d’extrême droite et face à la montée du fascisme dans notre pays comme en Europe et au-delà.
Merci à toutes les associations et à tous les bénévoles qui ont permis la tenue de cet évènement si indispensable dans la période actuelle !
Rendez-vous le 26 juin à Vaunaveys-la-Rochette avec Marine Tondelier !
Dans le cadre du déplacement autour du thème “Écologie en campagnes” initié par mon collègue le sénateur de l’Isère Guillaume Gontard, j’ai le plaisir de co-organiser une réunion publique dite « inversée » en sa présence, ainsi que celle de Marine Tondelier, secrétaire nationale Les Écologistes à Vaunaveys-la-Rochette, le jeudi 26 juin à 19h00
L’objectif de cette rencontre est simple : Donner la parole aux habitant·es, plutôt que de dérouler un discours classique.
Ici, pas de monologue suivi de quelques questions : ce sont d’abord les habitantes et habitants qui s’expriment. Et les représentant-es politiques, qui écoutent. Une démarche qui fait beaucoup de sens pour moi dans notre lutte pour la publication et la restitution des doléances des Français-es.
Cette soirée permettra donc aux Drômoises et aux Drômois de partager leurs préoccupations et d’échanger sur l’actualité locale et nationale. Guillaume Gontard, Marine Tondelier et moi-même seront à l’écoute et répondront à toutes les questions posées.
N’hésitez pas à diffuser partout autour de vous !
Au plaisir de vous y voir en nombre 🥰
Mes prochaines permanences parlementaires
Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées !
Notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :
👉 Vendredi 20 juin de 9h30 à 11h30 à Crest📍
👉 Vendredi 27 juin de 10h00 à 12h00 à Luc-en-Diois📍
👉 Vendredi 04 juillet de 10h30 à 12h30 à Buis-les-Baronnies📍
👉 Vendredi 18 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Paul-Trois-Châteaux📍
👉 Vendredi 25 juillet de 10h00 à 12h00 à Saint-Jean-en-Royans📍
Pour prendre rendez-vous, veuillez nous écrire à marie.pochon@assemblee-nationale.fr ou nous appeler au 06 65 82 25 99.
J’ai hâte de vous rencontrer !
L’agenda de la semaine 🗓️
Mardi, à la suite de la réunion de mon groupe parlementaire, j’assistais à la séance de Questions au Gouvernement puis je me rendais en Commission des Lois pour examiner la Proposition de loi sur le statut de l’élu dont je vous parlais dans mon dernier journal de bord, en parallèle des débats et des votes en hémicycle notamment sur le PJL Simplification.
Mercredi, je me rendrai aux archives départementales de la Loire-Atlantique pour y lire les doléances qui seront le thème de la projection-débat du soir sur le film “Les Doléances” qui aura lieu à Saint Nazaire 📍à 19h00, salle 7 de l’Agora (2b rue Albert Mun).
Jeudi, toujours en Loire-Atlantique, je participerai, à une visite de ferme et une conférence de presse à Guérande 📍 sur les enjeux agricoles. Ensuite je déjeunerai avec les élu-es ruraux du canton de Saint-Nazaire.
Pendant ce temps, en circonscription, je serai représentée à l’Assemblée Générale de Dieulefit-Santé ainsi qu’à celle du BTP Drôme-Ardèche.
Vendredi, de retour dans la Drôme, je tiendrai ma permanence parlementaire à Crest de 9h30 à 11h30📍et je passerai le reste de la journée dans le Vercors, pour une visite aux côtés de l’ONF sur la question de la gestion durable des forêts.
Enfin, dimanche, après une jolie fête de la musique, je participerai à la commémoration du bombardement de Combovin 📍 et inaugurerai à nouveau la Fête de la Transhumance, cette fois-ci, au col du Rousset !
Au plaisir de vous (re)voir,