Bonjour à toutes et à tous,
Mercredi dernier, le réveil a été difficile. En partie parce que je prenais le “train du matin” à Valence TGV pour remonter à la capitale voter un budget dont on savait bien – au vu des absences structurelles des député-es du “socle commun” pendant les débats – qu’il ne serait pas amendé de nos propositions. Pour autre partie, du fait des nouvelles d’outre atlantique. La réélection de Donald Trump comme 47ème président des Etats-Unis.
Euphorie sur les marchés financiers.
La finance contre l’humanité. Cela n’a jamais été aussi vrai.
Le bilan de Donald Trump est en totale contradiction avec tout ce que nous devons faire pour le climat et la biodiversité, pour prendre à bras le corps l’urgence écologique. Son retour à la présidence présage une politique de déni climatique, lui qui qualifie le changement climatique d’escroquerie, un possible retrait renouvelé de l’Accord de Paris et une politique active de soutien aux énergies fossiles, promettant un boom du pétrole. Alors que le monde a besoin d’une action décisive pour limiter le réchauffement planétaire, ce scénario annoncé est catastrophique. Alors que nous avons déjà atteint 1,5 degré environ d’augmentation des températures et que l’année 2024 est la plus chaude jamais enregistrée à l’échelle de la planète, nous voyons déjà les impacts absolument dévastateurs de l’inaction. Les coûts sociaux, financiers et écologiques seront vertigineux. Le vertige, c’est aussi celui de ne pas savoir si nos propres enfants, qui naissent aujourd’hui, pourront vivre dignement d’ici 40 ans.
La perspective de quatre ans supplémentaires de sa politique est aussi désastreuse pour la justice sociale alors que les inégalités et la pauvreté ont augmenté sous son précédent mandat. Les droits des femmes risquent d’être encore davantage fragilisés, avec des conséquences graves, notamment sur les droits reproductifs et sexuels et l’égalité des genres et les droits des personnes LGBTQIA+ seront encore plus menacés par la résurgence de discours rétrogrades et de politiques discriminatoires.
Le risque que son élection fait peser sur la démocratie américaine est immense. On se souvient encore trop bien de la contestation des résultats de l’élection et l’invasion du Capitole à Washington par ses soutiens en 2020. Donald Trump a été réélu malgré des procédures pénales et des condamnations pour des faits graves ; et la mainmise de son nouveau Ministre Musk laisse à craindre sur la place qui pourrait être faite aux fake news et au complotisme pour la démocratie américaine (à ce sujet, cette courte vidéo est à voir !). Sa politique internationale nous inquiète aussi particulièrement pour le peuple ukrainien face à l’invasion russe, et pour les perspectives déjà quasi inexistantes d’un cessez-le-feu à Gaza.
Alors, Donald Trump a agressé des femmes, fomenté un coup d’État, tenu des propos racistes et misogynes, promu des fake news, a insulté dans le cours de sa campagne ses adversaires de tous les noms. Cet homme est bien évidemment dangereux, pour l’Amérique et le reste du monde. Nous continuerons à lui opposer un projet pour une Europe sociale, solidaire et écologique, la démocratie, les droits humains, les progrès sociaux et écologiques, parce que c’est là notre seul salut.
Le combat de la semaine : pour une agriculture rémunératrice et durable !
La reprise des mobilisations agricoles annoncées pour les prochains jours en France et en Europe mettent la lumière sur la détresse et la colère des agriculteurs et agricultrices. Faiblesse des revenus, hausse des charges, importations en hausse, pression de l’agro-industrie et de la grande distribution, impacts des changements climatiques, difficultés administratives et inégalités face à la PAC, non-anticipation des crises sanitaires… Les difficultés sont nombreuses, couvent depuis longtemps, et si elles semblaient avoir été entendues (on se souvient des discours sur les bottes de paille !) aucune réponse structurelle n’a été annoncée, en dehors d’aides d’urgence. Où sont les revenus dignes et les prix rémunérateurs ? Les macronistes, la droite et le RN ont rejeté ma proposition de loi : pourquoi ? Où sont les protections face à la concurrence déloyale alors que l’Union Européenne s’apprête à signer avec les pays du Mercosur ? Où sont les soutiens à la transition écologique pour tenir l’ambition des normes environnementales ? Les quelques mesures conjoncturelles ne seront rien sans une remise en cause systémique de notre modèle agricole, sans une protection de nos paysans face au marché et à l’agro-industrie, sans un véritable accompagnement à la transition écologique avec plus de soutiens aux MAEC et à la bio, sans la fin des accords de libre-échange désastreux pour les revenus et climaticides.
La semaine passée, nous étions d’ailleurs plus de 200 parlementaires français à demander à la France et à l’Union européenne de s’opposer à l’accord de libre-échange UE-Mercosur, dangereux pour l’environnement et notre agriculture ici et là-bas ❌️ , dans une tribune, dont je suis une des premières signataires, initiée par André Chassaigne.
Je parlais aussi de ce combat dans l’émission “Politiques, à table” sur LCP : il faut refuser ces accords de libre échange qui veulent que l’on échange avec des pays du monde entier indifféremment des voitures ou des kilos de bœuf. Néfastes pour l’environnement, aggravant la déforestation (c’est l’équivalent de la surface de toute la péninsule ibérique qui a été déforestée depuis l’an 2000) faisant primer la sacro-sainte « compétitivité » et la balance commerciale sur le devenir des agriculteurs d’Europe et de l’Amérique du Sud et la saine alimentation de chacun-e : non à cet accord (et à tous les autres) !
L’examen du budget dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale a aussi été l’occasion de proposer des mesures concrètes de soutien aux agricultrices et agriculteurs dans la transition pour assurer une agriculture rémunératrice, respectueuse de la santé de celles et ceux qui la font et du vivant.
Mon amendement pour renforcer et prolonger le crédit d’impôt bénéficiant aux exploitations en agriculture biologique a d’ailleurs été adopté ! ✅ Beaucoup préfèrent faire des feux de joie autour de la diversité des modèles, au risque, avéré, d’en laisser un, celui de l’agroécologie, mourir. Alors, à l’heure où la filière bio subit une crise historique, et à l’heure même où les scientifiques nous alerte tous sur le risque d’extinction de la moitié des espèces connues d’ici à 2040 – une génération, chers collègues – je proposais de renforcer et prolonger le crédit d’impôt bénéficiant aux exploitation en agriculture biologique pour le sécuriser à minima pour toute la durée de la programmation PAC, à savoir jusqu’en 2027. L’agriculture biologique occupe une place essentielle dans le patrimoine national, et sur nos territoires et est unanimement reconnue par la science pour permettre de concilier production alimentaire et respect des écosystèmes 👨🌾 Elle doit devenir un élément clé de la transition écologique pour permettre aux agricultrices et aux agriculteurs de concilier urgence économique et urgence climatique !
Avec mon collègue Benoît Biteau, nous demandions aussi plus de transparence et de justice environnementale en introduisant une taxe sur la publicité qui promeut des produits alimentaires mauvais pour l’environnement.
L’objectif était double :
👉 dissuader la promotion commerciale de produits à forte empreinte écologique
👉 inciter les producteurs et distributeurs à améliorer leurs pratiques pour proposer des produits plus vertueux
Oui, les entreprises qui choisissent de promouvoir des produits nocifs pour l’environnement doivent porter une partie du coût écologique, et oui les consommateurs doivent être mieux informés sur ce qu’ils achètent et ce qui se trouve dans leur assiette ! 🍽
Malheureusement, cet amendement n’a pas été adopté, rejeté par le RN, la droite et les macronistes ❌️
Le courrier de la semaine : il faut publier les doléances du Grand Débat National !
En juillet dernier, au lendemain des élections législatives anticipées, nous appelions le gouvernement qui serait nommé à s’inspirer des doléances qui ont fait suite au mouvement des gilets jaunes pour fixer le cap de l’action publique dans une assemblée morcellée. Cela permettrait, nous l’écrivions, de gouverner au bénéfice de tous les Français-es. Avec mes collègues écologistes, socialistes, insoumis, LIOT, Renaissance, GDR, nous demandons au Premier Ministre Michel Barnier de ne pas s’arrêter à dépêcher 2-3 de ses conseillers à “lire” les doléances pour s’en inspirer pour son plan d’action gouvernemental, mais également de les rendre publiques et de les restituer à l’ensemble des Français-es, en soutenant l’inscription de notre résolution à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale et tenir la promesse présidentielle !
Nous en discutions d’ailleurs mercredi dernier, à l’occasion de la projection dans une centaine de tiers-lieux simultanément du film “Les doléances” d’Hélène Desplanques qui suit la quête de Fabrice Dalongeville, maire d’Auger-Saint-Vincent, des 19 899 cahiers de doléances noircis suite aux mobilisations des Gilets Jaunes, archivés depuis plus de 5 ans désormais. Ensemble, depuis, nous continuons la bataille, désormais pour leur publication et leur restitution, notamment au travers de la résolution transpartisane que j’ai l’honneur de porter !
L’émission de la semaine : la matinale de France Bleu Drôme-Ardèche
Ce mardi matin, j’étais l’invitée de la matinale de France Bleu Drôme Ardèche à l’occasion de l’ouverture de la COP29 à Baku en Azerbaïdjan. Un sommet mondial sur le climat dans un pays pétrolier, c’est effectivement paradoxal. Mais il est essentiel d’y porter une voix forte pour éviter un futur à +4°C, invivable. Je déplore l’absence du Président de la République à la COP parce que nous savons toutes et tous que sans engagement politique, les efforts pour financer l’atténuation et l’adaptation au changement climatique sont en péril. La France doit avoir une parole forte, même dans des COP controversées, et demander des objectifs contraignants, seuls capables de faire face au plus grand défi de notre siècle.
Une semaine à Paris 🏛️ |
C’était encore une semaine sur le budget 2025 en hémicycle pour finir d’étudier les amendements sur la partie “recettes”. Avec le Nouveau Front Populaire, nous avons réussi à démontrer qu’il était possible de rétablir les comptes publics sans s’en prendre aux plus précaires : en mettant à contribution les plus riches, les grandes entreprises, et les gros pollueurs, nous avons réussi à nous opposer aux principales mesures d’austérité comme la suppression de la hausse des tarifs de l’énergie, et la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité. Une alternative à la politique antisociale était donc possible ! Au total, ce sont donc 50 milliards de recettes supplémentaires qui ont été obtenues. 50 milliards qui ne valent rien en soi, mais qui pourront maintenir à flot nos hôpitaux, revaloriser nos AESH et nos enseignants, aider nos communes dans la transition et l’adaptation face aux changements climatiques, rénover nos gendarmeries, financer des alternatives de mobilité… et permettre à chacune, chacun, de vivre dignement et d’être protégé-es, quand les inégalités ne font que se creuser.
Nous nous sommes toutefois heurtés au front commun des macronistes, de la droite et du RN sur les mesures de fiscalité écologique que nous proposions : ISF Climatique, la hausse du Versement Mobilité, l’inclusion des jets dans la TSBA, la taxation des groupes pétroliers, la baisse de la TVA sur le train… Et le renforcement du malus automobile a été supprimé.
Mardi, malheureusement, l’Assemblée nationale a rejeté la partie 1 de ce projet de loi de finances. L’Assemblée nationale est donc privée d’examen de la partie 2 sur les dépenses malgré nos nombreuses propositions étudiées, et pour certaines adoptées, en commission des finances. La Macronie et le RN ont ainsi voté contre un budget (un peu) plus juste, où les gros payaient (un peu) plus gros, et les petits (un peu) plus petit.
Une semaine dans la Drôme 📸
Lundi, je tenais une permanence parlementaire à Saint-Jean-en-Royans📍. J’ai pû y rencontrer des acteurs du territoires et des citoyennes et citoyens et échanger avec eux sur leurs problématiques et leurs combats. C’est toujours un honneur que de vous accompagner face aux différents défis, qu’ils vous soient individuels ou bien qu’ils soient un sujet législatif et politique !
Je suis ensuite allée visiter le centre médico-social de la MGEN à Saint-Thomas-en-Royans📍 ou j’ai pu échanger avec M. Cordel, le directeur que je remercie pour l’accueil, et avec une partie des équipes. Près de 200 personnes en situation de perte d’autonomie et de handicap, parfois lourds, sont hébergées, sur 2 centres entre Saint-Thomas-en-Royans et Saint-Laurent-en-Royans.
Ici, les personnels font de leur mieux. De leur mieux, dans des établissements qui ne sont malheureusement pas adaptés, qui peinent à recruter des personnels sur du long terme : 75% des salariés sont intérimaires du fait du manque de valorisation des travailleurs du médico-social, et de la fragilité de leur statut. Ici, on fait de son mieux, malgré le manque de places et l’instabilité budgétaire. Il faut que cette structure, comme toutes les autres dans la Drôme et partout dans le Pays, soit dûment accompagnée et financée. Parce que c’est là la garantie de la dignité et de l’accès aux droits pour tant de personnes en situation de handicap et leurs familles !
En fin d’après-midi, j’ai rencontré Radio Royans-Vercors, une radio locale fondée en 1983 par l’Association de Coordination Culturelle du Royans (ACCR) et le Parc Naturel Régional du Vercors à Saint-Jean-en-Royans. Radio-Royans est bien plus qu’une simple station, c’est un lieu de mémoire radiophonique, une radio qui diffuse les informations et actualités du territoire, animée par une équipe dévouée de 6 salarié-es équivalent à 2,7 temps pleins. Son rayonnement couvre la Communauté de Communes Royans Vercors et s’étend jusqu’à la Communauté de Communes de Saint-Marcellin, en Isère, enrichissant notre région d’une programmation culturelle diversifiée et de projets en milieu scolaire. Vous pouvez réécouter notre émission sous ce lien !
Mardi matin, j’étais à Eyzahut📍 pour échanger avec la maire Fabienne Simian et son équipe municipale pour découvrir les travaux entrepris par la commune pour la rénovation de 14 locations de vacances communaux en logements pérennes à l’année : un immense projet, qui permet à la commune d’accueillir de nouveaux habitants, mais également d’assurer un logement où on peut vivre dignement été comme hiver, grâce à une rénovation énergétique d’ampleur ! J’ai pu profiter de ce passage dans la commune pour visiter aussi la piscine municipale rénovée, là aussi, et qui accueille plein de visiteurs-euses tous les étés.
En début d’après-midi, j’ai visité l’ESAT (Etablissement et Service d’Accompagnement par le Travail) de l’APAJH à Crest📍. Cette association gère aussi un accueil de jour, un foyer d’hébergement et un foyer appartement sur Crest. Les problématiques de l’association qui agit pour l’accueil des personnes en situation de handicap sont les mêmes que toutes les autres que j’ai rencontrées les semaines précédentes, essentiellement des difficultés de financements et le manque de place d’accueil. Dans cet ESAT, les personnes travaillent dans une blanchisserie, dans les petits travaux de manufacture ou dans les espaces verts. L’association a un joli projet d’IME dans la ville de Crest, je les aiderai bien évidemment pour le mettre en place !
Je suis ensuite allée rencontrer le maire de Montclar-sur-Gervanne📍 et la secrétaire de la mairie. Merci à eux de m’avoir fait faire le tour de la commune. Cela nous a permis d’échanger sur les problématiques liées au manque de régulations sur l’immobilier. Ici, 40% des logements sont des résidences secondaires, habitées quelques semaines seulement pour certaines dans l’année, le moindre bout de bâtiment coûte jusqu’à 200 000€, et la commune peine à offrir de quoi se loger pour les enfants du pays, ou celles et ceux qui aimeraient y vivre et y travailler.
D’ailleurs, ce jeudi, à l’Assemblée nationale, je votais pour ✅️ la proposition de loi de mon collègue Inaki Echaniz pour le renforcement de la régulation des meublés de tourisme. Bientôt, nous ferons de même sur les logements secondaires, pour que dans nos petits villages, ce ne soient pas que les logiques de marché qui prévalent, mais des logiques humaines, permettant l’accès à la propriété et au logement de toutes et tous, et surtout de celles et ceux qui souhaitent vivre et travailler au pays.
Enfin, j’ai fini la journée à Saint-Julien-en-Quint📍 pour rencontrer son maire, ou plutôt, son “secrémaire”. Merci à lui de m’avoir alertée, de m’avoir reçue, de m’avoir partagé son travail non seulement de maire, mais aussi pendant tant de temps de secrétaire de mairie, tant il devient difficile d’en recruter. En cause : les conditions de travail souvent difficiles avec des charges de travail immenses, le manque de coordination à l’échelle intercommunale, les salaires en berne… Merci à nos maires de nos communes rurales, pour tenir la barre quand le bateau tangue si fort.
Ce samedi, j’étais présente au formidable et très délicieux Salon des Vins et Cépages Oubliés à Chabeuil📍. Merci aux viticulteurs-rices venu-es de toute la France, pour leur engagement à expérimenter et faire découvrir des vins et cépages oubliés, qui ravissent nos palais de saveurs parfois inconnues ! 🍷 Que vive le travail de la vigne et les cépages oubliés (à consommer avec modération bien évidemment !)
Les prochaines permanences citoyennes 👫
Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées, notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :
👉 Le vendredi 15 novembre, à Die 📍, de 10h à 12h, à la mairie de Die, 7 rue Félix Germain
👉 Le vendredi 22 novembre, à Buis-les-Baronnies📍, de 10h30 à 12h30, salle de l’auditoire, rue de la commune
👉 Le vendredi 29 novembre, à Dieulefit📍, de 10h30 à 12h30, salle Jeanne Barnier, La Halle
👉 Le vendredi 6 décembre, à Saint-Paul-Trois-Châteaux📍, de 10h30 à 12h30, bureau de l’evêché, rue de l’évêché
👉 Le vendredi 13 décembre, à Crest📍, de 10h à 12h30, Salle 1 Dumont, 17 rue Dumont
👉 Le vendredi 20 décembre, à Rémuzat📍, de 10h à 12h30, Mairie de Rémuzat
Pour prendre rendez-vous, veuillez nous écrire à marie.pochon@assemblee-nationale.fr ou nous appeler au 06 65 82 25 99. J’ai hâte de vous rencontrer ! (d’autres dates à suivre ! 📣)
Le programme de la semaine 🗓️
Lundi, je participais aux cérémonies de commémoration du 11 novembre à Die📍 et à Saillans📍. Mercredi, à Paris je participais à la présentation de la proposition de loi transpartisane visant à lutter contre les déserts médicaux, aux questions au gouvernement, aux auditions de la mission d’information sur la défense du pastoralisme et à un événement sur les territoires en transition agroécologique et alimentaire (programme TETRAA). Jeudi, de retour dans la Drôme, je rencontrerai Chabeuil📍 Entraide et Partage (CAP) puis je me rendrai à la ferme du Grand Laval et à la ferme des Places. Enfin, j’assisterai à la réunion de l’observatoire des dynamiques rurales à la DSDEN. Vendredi, j’organise une permanence parlementaire à Die📍 puis je rencontrerai le théâtre de Die et l’association “Ça m’résille” à Saillans📍. Dimanche, je me rendrai à la foire aux fruits d’hiver de Saoû📍 puis à la projection-débat du film “Les Doléances” d’Hélène Desplanques au Tiers-Lieu à 17h à Dieulefit📍.
Au plaisir de vous (re)voir toutes et tous, |
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