Bonjour à toutes et à tous,
Lundi dernier, l’Assemblée nationale adoptait la proposition de loi pour mieux prendre en charge la maladie de Charcot. Je suis très fière d’avoir, sur ce texte, été l’oratrice de mon groupe, ce qui m’a permis de rendre hommage à Gilbert Bouchet, sénateur de la Drôme, atteint par la maladie.
Combattre pour tous les autres : c’est ce que fait notre collègue sénateur Gilbert Bouchet, qui mène un combat avec la dignité dont seuls ceux touchés par ces maladies peuvent faire preuve ; et ce combat, malgré ce qu’il endure, il a décidé de le porter pour tous les autres. Il a décidé de défendre, pour tous les autres, cette proposition de loi, permettant que tous les malades de la sclérose latérale amyotrophique et d’autres maladies évolutives graves puissent bénéficier d’un soutien renforcé et rapide lorsque le diagnostic est posé.
La maladie de Charcot, c’est une conscience intacte, une raison qui regarde impuissante le corps s’affaiblir sans rien pouvoir n’y faire. Une épreuve pour les malades, enfermés dans leur corps ; une épreuve pour leurs proches. Une épreuve face à laquelle tant d’aidants et de malades sont bien seuls aujourd’hui : face à l’horreur, on dirait presque qu’on a préféré fermer les yeux, ou regarder ailleurs. Mais les malades ne le peuvent pas, eux, regarder ailleurs, et je ne peux que regretter qu’il faille que l’un d’entre nous soit malade et qu’il combatte pour tous les autres pour qu’enfin nos assemblées légifèrent pour apaiser leur douleur et leur peine, et adoucir les épreuves.
Lundi dernier, en hémicycle, on a adouci un peu les épreuves. Et c’est déjà quelque chose de bien, de rare et précieux, parce que ce n’est pas toujours ce que l’on fait dans cette assemblée. Les Écologistes y ont bien évidemment joint leurs voix. Oui, nous devrons aller plus loin, et ce texte n’est qu’une étape. Il faudra cesser de couper les milliards à la recherche, financer les études cliniques, lutter contre les déserts médicaux, assurer l’application pleine et entière de la loi du 11 février 2005 dont nous avons célébré la semaine dernière les 20 ans (d’inapplication).
Là, alors, nous aurons été à la hauteur du digne combat pour tous les autres.
La proposition de loi de la semaine : pour la nationalisation temporaire de Vencorex !
Initiée par ma collègue Cyrielle Châtelain, et co-signée par 99 député-es, je suis co-signataire d’une proposition de loi déposée la semaine dernière pour la nationalisation temporaire de l’entreprise Vencorex ✅️ Cette nationalisation temporaire permettra, nous l’espérons, un délai indispensable à l’élaboration d’un projet de reprise solide avec les acteurs économiques intéressés pour réinvestir la plateforme chimique.
La fermeture de Vencorex en Isère, site regroupant des compétences et des activités vitales de production pour des filières industrielles stratégiques, pourrait entraîner une réaction en chaîne désastreuse, impactant jusqu’à 5 000 emplois en France, directs et indirects. Ce sont notamment 450 emplois qui disparaîtront d’ici 2 mois si l’on n’agit pas tout de suite !
Il est indispensable de garantir le maintien de l’activité car une plateforme chimique qui ferme est une plateforme que ne rouvrira pas, ni ne sera installée ailleurs. Il en va de notre souveraineté industrielle, mais aussi de la sauvegarde de nos emplois et de la préservation des compétences sur le bassin de la chimie, ainsi qu’à Hauterives dans la Drôme, site de Chloralp qui extrait le sel, matière première de base pour toute cette industrie. On continue !
L’affaire de la semaine : violences physiques et sexuelles à Notre-Dame de Betharram
Toute la lumière doit être faite sur les crimes commis à Bétharram, et sur la connaissance qu’en avait François Bayrou.
Au nom de la vérité qu’il doit aux centaines de victimes d’attouchements et de viols dans cet établissement, au nom des 112 plaintes déposées, au nom de ces centaines d’enfants qui auront toujours adultes, cette mémoire intacte des drames qu’ils ont subi, faute d’avoir vu leur souffrance accompagnée, reconnue, soutenue, par ceux qui alors, étaient au pouvoir.
Au nom de ce que nous devons exiger de l’Education nationale, ensuite, d’un établissement sous contrat, qui, si les faits sont effectivement avérés, aurait dû immédiatement faire l’objet d’une enquête approfondie, d’une rupture du contrat avec l’État, et d’une fermeture. Or aucune inspection n’en n’a été faite. C’est proprement scandaleux (et ce n’est pas inédit).
Au nom, enfin, de la vérité qu’un ministre, et le premier d’entre eux également, doit à la représentation nationale.
On parle là de pédocriminalité, un des plus immondes crimes qu’il soit : l’avoir caché sciemment, ne rien avoir dit sciemment, pour protéger une institution ou des proches, constituerait une affaire d’État d’ampleur. Comment 112 enfants ont pu être agressés, des personnes condamnées, d’autres suicidées pendant 60 ans sans que rien ni personne n’ait conduit à la rupture du contrat d’association de cet établissement privé ? Sans que rien ni personne ne protège ces dizaines et dizaines d’enfants ?
Ces questions restent en suspens. Monsieur le Premier Ministre doit désormais y répondre.
Le rapport de la semaine : le classement annuel de la corruption
“La France est devenue un pays risquant de perdre le contrôle de la corruption”. Le nouveau rapport de Transparency International rétrograde la France en 25ème place inquiétante (sur 180) dans son classement annuel qui dévoile chaque année son Indice de Perception de la Corruption. L’association évoque une “dégradation alarmante et inédite de la situation française” en matière de corruption.
Depuis 2017, 26 ministres ont été impliqués dans des affaires politico-judiciaires. Alors même que nombre de représentants politiques ne tarissent pas ces derniers temps de vanter la “fermeté », le tout répressif, l’autorité : le principe de la démission d’un ministre mis en examen, défendu initialement par le président de la République, a été totalement abandonné. Et le dernier Président de la République de la droite, Nicolas Sarkozy, est sous bracelet électronique pour financement illégal de campagne. « Tu casses, tu répares« , mais que pour
les autres. Et la liste est longue : entre l’affaire des Eurodéputés du Modem et celle du RN, l’affaire Buzyn, les affaires Solère, Abad, Dussopt, Nysen, Cayeux, Pénicaud, Blanquer, Benalla, Griset, Hulot, Elimas, Delevoye, Flessel, Maillard, Carlos Ghosn, Alexis Kohler, Rachida Dati, Agnès Firmin Le Bodo, les Paradise Papers, les MacronLeaks, les Pandora Papers, l’affaire McKinsey, les Uber Files, l’affaire du Fonds Marianne…
Pourtant, lutter contre la corruption est une priorité ! Obligeons les parlementaires, les membres de l’exécutif et leurs conseillers à rendre publics leurs rendez-vous et leurs agendas avec les groupes d’intérêt, mettons en place un contrôle continu des comptes de campagne, étendons les pouvoirs de contrôle de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, renforçons les moyens du Parquet national financier, assurons le renouvellement de l’agrément d’Anticor, qui était menacé l’an passé.
Ne leur laissons pas la place ! La multiplication de ces affaires dégoûte et éloigne nombre de citoyens de la politique, qui se posent légitimement des questions sur leurs représentants « tous les mêmes », « pourris » et « corrompus ». Ces données révélées par Transparency International doivent non seulement pousser le Gouvernement à agir fermement, les élus à œuvrer à la transparence dans la conduite de leur mandat, mais aussi les citoyens à demander des comptes.
C’est pour cette raison que je publie mon agenda chaque semaine, en plus de mon journal de bord hebdomadaire !
Une semaine à Paris 🏛️
Mardi, après la réunion du Groupe Écologiste, je rencontrais l’association Rura, anciennement Chemins d’Avenir, qui agit pour accompagner la jeunesse rurale à révéler tout son potentiel !
10 millions de jeunes vivent dans les zones rurales et les petites villes de France, soit 60% des moins de 20 ans. Pourtant, cette jeunesse massive est trop souvent oubliée ou mal perçue. Ces jeunes rencontrent de multiples obstacles : milieux fragiles, faibles revenus, mobilité réduite, et éloignement des opportunités de formation. 70% des formations post-bac sont concentrées dans les grandes métropoles, créant une inégalité d’accès à l’éducation et aux carrières. Grâce à un programme gratuit d’un an, combinant mentorat, formation et ressources, Rura soutient les jeunes de ces territoires en surmontant les obstacles qui les entravent, sans se baser uniquement sur leur niveau scolaire. Depuis sa création, plus de 13 000 jeunes ont été accompagnés sur tout le territoire national !
Je participais ensuite à la rencontre avec la délégation du Réseau de coopération décentralisée pour la Palestine, à l’initiative de ma collègue députée Elsa Faucillon. La délégation nous a fait part de la situation bientôt irréversible face à l’hypothèse “Jérusalem capitale des deux Etats” après avoir rencontré des habitants des quartiers de Silwan et de Sheikh Jarrah où les démolitions se sont accélérées en 2024, deux quartiers que j’avais visité également lors de notre délégation parlementaire en janvier.
Mercredi matin, j’échangeais avec le Président de l’association Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée pour évoquer l’avenir de ce dispositif, à l’heure des coupes budgétaires. Cette baisse de budget, le projet de la communauté de communes de Dieulefit-Bourdeaux en a fait les frais quand le département de la Drôme a retiré sa part de financement pour leur projet. Pourtant, c’est un dispositif qui fait ses preuves et qui est désormais européen, avec un fonds spécial de l’UE doté de 23 millions d’euros et un lancement à Rome, en Wallonie, à Berlin ou encore à Groningen! Ce dispositif démontre chaque jour qu’il est possible de proposer à toutes les personnes privées durablement d’emploi, un emploi stable et pérenne à temps choisi, en développant des activités utiles pour les territoires. Nous continuons de les soutenir et nous travaillons pour assurer la continuité du projet !
Enfin, en commission la semaine dernière, c’était carton plein en commission pour toutes les propositions de loi de la journée d’initiative parlementaire du groupe Écologiste et Social qui aura lieu ce jeudi 20 février. Nos 7 textes ont été adoptés, une première étape essentielle franchie ! En commission développement durable, nous avons notamment fait adopter la proposition de loi contre les PFAS de Nicolas Thierry, ces polluants éternels qui contaminent notre planète et menacent notre santé, et qui revient un an plus tard dans notre hémicycle. Nous avons une opportunité décisive pour les interdire définitivement ! Nous avons également fait adopter la proposition de loi de Jean-Claude Raux pour protéger durablement la qualité de l’eau potable, un texte essentiel pour protéger les zones de captage d’eau et interdire dès 2030 les pesticides autour des points de prélèvement d’eau et pour renforcer les contrôles de la qualité de l’eau potable. Tous ces textes passeront en hémicycle (en séance), ce jeudi 20 février ! Affaire à suivre, donc !
Une semaine dans la Drôme 📸
Jeudi dernier, à la Comédie de Valence📍, Centre Dramatique National de 25 ans d’âge, je suis allée jeudi à la rencontre de Marc Lainé et Claire Roussarie, pour échanger sur le travail qu’ils font, avec les salariés et les intermittents, pour soutenir, promouvoir et faire vivre la culture à Valence, mais également au delà, dans nos campagnes Drômo-Ardéchoises. Avec des productions vertueuses, autour du partage, du déploiement d’une culture inclusive, transdisciplinaire, la Comédie de Valence propose 7 à 9 créations par saison. Véritable laboratoire de la décentralisation, la comédie itinérante portée par la comédie de Valence, c’est l’accès à des créations de très grande qualité, au cœur de nos villages ! C’est la possibilité, à Saint-Julien-en-Vercors, à Luc-en-Diois, à Vinsobres ou Mollans-sur-Ouvèze, de voir dans sa salle des fêtes des créations qui derrière feront leur route à Paris ou dans les capitales européennes ! Merci pour ce formidable travail qui permet de lutter contre les fractures sociales et territoriales dans l’accès à la culture !
Jeudi j’ai également rencontré la CPAM sur la question de l’accès aux soins dans la Drôme. La prévention en santé est un enjeu majeur, ainsi que l’accompagnement de chacun-e dans l’accès à une mutuelle, alors qu’encore 30% des personnes éligibles à la C2S n’en bénéficient pas faute de recours. Avec les dirigeants de la CPAM de la Drôme, j’ai échangé sur la structuration et la coordination d’une offre de soins de qualité, la mise en place d’assistants médicaux et d’IPA pour faciliter le travail des médecins, pour pallier à la désertification médicale, à l’augmentation des patients en affection longue durée, liées à la fois au vieillissement de la population et à la santé environnementale. On continue !
A Valence📍, je rencontrais ensuite le Moulin Urbain avec mon collègue Paul Christophle qui agit au service de l’accessibilité à une alimentation de qualité pour toutes et tous, à travers les marchés à 3 prix adossés à une caisse de solidarité pour que le producteur ne porte pas le déficit ou l’excédent liés à la variation, les cantines participatives, et des événements autour de la démocratie alimentaire. Comme à Dieulefit, comme dans la communauté de communes du Val de Drôme, comme à Montpellier ou Lyon, ici on expérimente en vue de créer une caisse alimentaire qui pourrait préfigurer une sécurité sociale de l’alimentation. Je soutiendrai d’ailleurs ce 20 février à l’Assemblée nationale la proposition de loi pour expérimenter la sécurité sociale de l’alimentation que j’ai cosignée !
Avec Paul Christophle, nous avons aussi eu le plaisir de rencontrer Stéphane DAMOUR, président de la CPME de la Drôme. La CPME, représentant 273 000 entreprises au niveau national, œuvre à la représentation des petites et moyennes entreprises. Nous avons pu échanger sur la nécessité d’un dialogue constant entre les décisionnaires et les entrepreneurs, et avons pu partager nos visions.
Enfin, jeudi soir, j’assistais à Aouste-sur-Sye📍 à l’assemblée générale de l’association Val Drôme Accueil Réfugiés. 121 adhérents, une centaine de bénévoles, 19 familles accompagnées: Le travail de cette association est remarquable. En 2024, deux familles ont pu acheter une maison, une personne a obtenu la naturalisation, une femme a obtenu l’asile dans la vallée. Sans relâche, le travail de l’ensemble des bénévoles de cette association rend l’intégration des personnes possible. Ici c’est l’humain qui prime, et la solidarité et la fraternité prennent tout leur sens. Bravo à elles et eux !
Vendredi, j’avais rendez-vous avec les habitants de La-Chapelle-en-Vercors📍 et alentours à l’occasion d’une permanence parlementaire. J’avais ensuite le plaisir de rencontrer les élèves de CM2 de Saint-Martin-en-Vercors📍, dans le cadre du Parlement des Enfants, pour échanger sur le rôle des élus et le fonctionnement de nos institutions ! Un grand merci à l’équipe pédagogique de l’école, à la maire Andrée Séquier pour son soutien et à tous les élèves pour leur accueil chaleureux. Leur curiosité est essentielle, et c’est un devoir pour chaque élu de transmettre cette passion pour notre République !
J’ai ensuite eu l’opportunité de visiter la ferme de pisciculture Les Truites de la Vernaison à Échevis📍, une exploitation familiale qui, depuis 60 ans, est un modèle de qualité et d’adaptation, portée par une passion transmise de génération en génération. Le secret de leur réussite ? La qualité de l’eau, en particulier le débit continu de la rivière, qui nourrit et permet l’élevage des truites, qui naissent sur place ou sont introduites dès leur plus jeune âge. Elles grandissent dans des bassins adaptés, et l’atelier de transformation, également sur site, leur permet de proposer une gamme de produits de qualité : filets et truites fumées, un vrai savoir-faire artisanal. Mais l’activité n’est pas sans défis. Le réchauffement climatique et le manque d’eau pendant l’été compliquent la production, rendant nécessaire l’achat de poissons pour assurer la continuité de l’activité. Merci pour leur accueil et pour ce travail au service d’une production locale de qualité, en circuit court, sans subventions, et un respect des valeurs artisanales!
Enfin, vendredi soir, j’ai eu l’honneur d’assister à l’Assemblée Générale de l’Amicale des Bénévoles Donneurs de Sang du Royans Vercors, à Saint-Jean-en-Royans📍Un moment important pour rendre hommage à ces héros du quotidien qui, par leur générosité, sauvent des vies. En 2024, six collectes de sang ont été réalisées dans le pays du Royans Vercors, avec 370 donneurs. Pour 2025, six collectes de sang sont programmées ! C’est grâce à la solidarité de celles et ceux qui le peuvent que ces vies sont sauvées : n’hésitez pas, vous aussi, à faire don de votre sang !
Ce samedi, j’avais le plaisir de participer à l’assemblée générale de l’association Vieillir au Village à Grâne📍, où nous avons pu échanger sur les actions sociales essentielles que mène l’association pour rompre l’isolement et mieux vieillir dans nos villages. L’après-midi, je me rendais, avant de faire un tour au super concert de Aoustock à Crest📍, à l’Assemblée Générale de l’association Passerelles à Dieulefit📍. Là, avec une centaine de participant-es, nous avons fait le bilan d’une année extrêmement active pour l’association d’accueil et de solidarité dans le pays de Dieulefit, et avons initié la suite : une coopérative, la Coop Lucette, pour porter le projet d’une maison accueillante ! Pour, comme moi, les soutenir et rejoindre la coopérative, cliquez ici !
Les prochaines permanences citoyennes 👫
Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées pour le début de l’année 2025 ! Notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :
👉 Vendredi 21 février de 10h30 à 12h30 à Nyons📍
👉 Vendredi 14 mars de 10h à 12h à la mairie de Saint-Jean-en-Royans📍
👉 Vendredi 21 mars de 10h à 12h en mairie de Die📍
👉 Vendredi 28 mars de 10h à 12h en mairie de Dieulefit📍
👉 Vendredi 4 avril de 10h à 12h à Saint-Paul-Trois-Châteaux📍
👉 Vendredi 11 avril de 10h30 à 12h30 à Rémuzat📍
L’agenda de la semaine
Lundi, j’étais dans les Baronnies pour une journée de rencontres sur la place de la culture dans nos territoires ruraux. J’ai rencontré la convention territoriale d’éducation aux Arts et à la culture “Gargoulette” puis la coopérative culturelle “La Baronne”. L’après-midi, nous échangions avec les acteurs culturels de toute la Drôme avant une réunion publique (formidable!) à Venterol📍 sur la culture en ruralités.
Mardi, à Paris, j’ai participé au petit-déjeuner du groupe La Poste sur les actualités du groupe, puis à une réunion avec le WWF sur l’omnibus réglementaire de l’Union européenne. J’ai également posé une question orale sans débat au gouvernement sur les frais kilométriques des infirmières en zone rurale. Mercredi, en commission, je serai cheffe de file pour mon groupe sur l’examen de la proposition de loi pour endiguer la prolifération du frelon à patte jaune et j’échangerai également avec le DASEN de la Drôme sur la carte scolaire, avant de voter la motion de censure. Jeudi, après un rendez-vous avec le ministre des relations avec le Parlement sur la publication des doléances du Grand Débat National, je serai en hémicycle toute la journée pour la journée d’initiative parlementaire du Groupe Écologiste et Social. Vendredi, je tiendrai ma permanence parlementaire délocalisée à Nyons📍. Je rencontrerai ensuite les jeunes de Nyons dans le cadre du “No fashion week” et enregistrerai une émission d’une webradio avec les lycéens de Nyons. Le soir, à 19h, j’organise une soirée publique à Grignan📍 pour faire suite à la délégation parlementaire à laquelle j’ai participé début janvier en Israël et Palestine. Enfin, samedi, je participerai à l’inauguration de l’hôtel de ville de Saint-Paul-Trois-Châteaux📍, je rencontrerai l’association des Amis de l’Orgue, puis je me joindrai à l’AG de l’UNACITA à Nyons📍
Retenez la date du 21 février !
Le mois dernier, je me rendais en Israël et dans les Territoires Palestiniens dans le cadre d’une délégation parlementaire écologiste, visant à, quelques jours avant son interdiction, échanger avec les agents de l’UNRWA sur les activités essentielles que cette agence onusienne mène auprès de populations civiles.
Ce vendredi 21 février, je vous invite à 19h à Grignan📍, à la Maison des Deux Terres à Grignan📍, pour une soirée publique et ouverte à toutes et tous de restitution de ce que nous avons vu et entendu sur place.
Nous avons rencontré des agents de l’UNRWA, des ONG, le consulat Français, et surtout des habitant-es et réfugié-es directement touché-es par cette interdiction. Fin janvier, Israël a interdit à l’UNRWA d’œuvrer en Cisjordanie, à Gaza comme en Israël, mettant en péril l’aide humanitaire pour des millions de réfugiés. Une situation alarmante sur laquelle nous avons alerté dès notre retour.
Au plaisir de vous y retrouver ! Pour cela une inscription (gratuite) est nécessaire et les places sont limitées 👉 S’inscrire
Au plaisir de vous (re)voir, |
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