Journal de Bord #102

Bonjour à toutes et à tous,

Tout d’abord, je profite de ce 102e journal de bord pour vous inviter toutes et tous à ma cérémonie Républicaine de vœux à la population, qui aura lieu ce samedi 25 janvier à 18h30 à la Salle des Fêtes de Bourdeaux ! Ce sera l’occasion de revenir sur les temps que nous vivons. Faits d’incertitude, de grande tension, de fractures qui se nouent et qu’il sera de plus en plus difficile à retisser si nous n’y prenons garde. En cela, le dessin figurant sur ma carte de vœux, et au-delà, mon combat pour la publication des doléances est à mon sens plus que jamais d’actualité. La responsabilité de la fracture : voilà la question que la déclaration de politique générale de François Bayrou n’a pas posée, en refusant le vote de la confiance de la représentation nationale.

D’autres l’ont posé, j’y reviendrai. “Monsieur le Premier Ministre, l’an dernier, le Courlis à bec grêle a disparu, marquant la première extinction d’une espèce continentale d’oiseau en Europe. Sur 1h30 de discours, vous aurez concédé 158 mots sur l’écologie, à peine plus sur l’agriculture” lui adressai-je. “Je comprends que vous persisterez à mener la même politique que ces dernières années. Je comprends que nos générations vivront sans doute moins bien que celles de nos parents, que nous ferons rien, ou si peu, face au cataclysme climatique et sanitaire, que nous nous enfoncerons, malgré tout ce que nos aînés avaient bien pu bâtir après les plus grands drames de notre histoire, dans l’ère du chacun pour soi et de la règle de droit arbitraire selon que l’on soit puissant ou vulnérable. (...) Monsieur le Premier Ministre, vous vous dites démocrate : entendez ce que les défaites successives de votre camp, ce que la colère, la tristesse, l’impuissance, le désespoir, tous ces sentiments qui parsèment les sondages d’opinion et les cérémonies de voeux dans nos circonscriptions veulent dire de la crise de régime que nous vivons. Entendez que cela ne peut conduire à la continuité, mais à un changement de cap.

Mais au fond, rien n’a changé.

Deux jours plus tard, le vote de la censure se présentait à la place du vote de confiance. Le gouvernement, malgré d’âpres négociations auxquelles les écologistes ont participé ces dernières semaines, n’a fait aucun compromis : sur nos demandes sur l’écologie, sans doute le plus grand défi de l’histoire de l’humanité, sur la justice fiscale et la nécessité de voir chacun contribuer à la crise budgétaire à sa juste part, sur la préservation des moyens des collectivités, des hôpitaux, de notre École. Ses réponses n’engagent aucun changement de cap, mais ne sont que des reculs différés à plus tard. 

Il est incompréhensible, à l’heure ou les conséquences du réchauffement climatique se font durement sentir, qu’un département français fait les frais à cette ampleur des conséquences du changement climatique ou que les zoonoses explosent dans le monde agricole, que la question écologique soit totalement absente du discours de politique générale et qu’elle soit la grande perdante des arbitrages budgétaires. Oui, derrière les oublis, les maladresses et les hésitations, se dessine une stratégie, celle pour Emmanuel Macron et ses soutiens de se maintenir au pouvoir grâce au flou et l’inaction, promettant un peu à certains mais ne s’engageant sur rien, alimentant la grande confusion dont se nourrit l’extrême-droite et condamnant la France à l’immobilisme et donc à une lente décadence.

Évidemment, la France a besoin d’un budget et elle a besoin de stabilité. Mais pour cela il aurait fallu que le gouvernement, d’autant plus devant cette assemblée morcelée, se soumette au vote de confiance. Compte tenu du paysage politique actuel, il n’y a pas d’autre mécanisme qui puisse garantir la stabilité dans un régime parlementaire.

Toutes ces raisons sont suffisantes à la censure de ce gouvernement. Jeudi, avec la grande majorité de mon groupe, j’ai donc voté la censure. Celle-ci était ineffective, ne rassemblant pas assez de députés pour être adoptée. Elle n’est donc en aucun cas une fin : elle doit être le début d’une négociation sincère, et porteuse de changements pour nos compatriotes, et notamment les plus vulnérables. Elle ne doit pas être vaine : elle doit amener le gouvernement, résolument, à combler le gouffre béant entre la réalité de la vie concrète des gens et ces arrangements tièdes et sans cap portés par l’exécutif. Les Français sont, à raison, fatigués de la crise permanente dans laquelle le chef de l’État maintient le pays avec son petit groupe de soutiens, et le gouffre béant qui se noue entre les dirigeants et les Français doit toutes et tous nous alerter et nous mobiliser. Je ne cesserai de l’être, à vos côtés.

 

Le combat de la semaine : pour la transition agroécologique et des revenus dignes !

Mercredi dernier en commission du Développement Durable et de l’aménagement du territoire, nous auditionnions Jean-Marc Jancovici et les chercheurs du Shift Project, qui ont mené auprès de plus de 7700 agriculteurs une étude sur les manières de faire advenir une agriculture bas-carbone, résiliente et prospère. Oui, il est possible, souhaité et souhaitable d’agir sur les pratiques de fertilisation en réduisant leur usage, en relocalisant et décarbonant leur production ; de favoriser les élevages extensifs, pastoraux ou herbagers, économes et autonomes face à la concentration des cheptels ; de favoriser les pratiques agroécologiques ; de préserver les prairies permanentes, les couverts végétaux, de développer les légumineuses…

À une condition : garantir une sécurité économique des agriculteurs, en sécurisant leurs revenus et en travaillant sur des filières et des marchés rémunérateurs.

Toutes ces propositions, nous les avons portées et débattues dans cette assemblée. Toutes ces propositions ont été balayées d’un revers de main, au nom du “poids des injonctions”, tout en en rajoutant en matière de compétitivité, de poids du marché, et de dépendances internationales; tout en refusant nos propositions pour des prix rémunérateurs ! Oui, la grande majorité des agriculteurs sont évidemment prêts à transformer leurs modèles s’ils y sont accompagnés, que cessent les injonctions contradictoires, et qu’ils sont justement rémunérés ! C’est ce je répète depuis plus d’un an avec le combat que je mène pour des prix rémunérateurs en agriculture !

Dans la foulée de cette audition, je posais une question en hémicycle à Annie Genevard, Ministre de l’agriculture, pendant les débats de contrôle, sur les raisons qui ont poussé tous les gouvernements successifs à ne strictement rien faire sur les prix agricoles. Au Salon de l’agriculture 2024, le président promettait “des prix planchers” pour les agriculteurs. Une promesse, encore une, instantanément balayée par l’alliance des droites, opposées à notre proposition de loi pour des prix rémunérateurs, au profit d’un Egalim 4 jamais advenu, et de négociations commerciales aux contours toujours inchangés.

Le revenu agricole doit être central à la fixation des prix et non pas une variable d’ajustement! Ma question à la Ministre était la suivante : que ferez vous face à l’impérieuse nécessité de prix rémunérateurs pour celles et ceux qui nous nourrissent ? »

Ces questions  de revenus et de transition agroécologique sont primordiales. Mais au lieu de se saisir pleinement de cet enjeu majeur, l’exécutif, aidé de la droite sénatoriale, préfère amputer les missions de l’Office Français de la Biodiversité, de l’ADEME, de l’ANSES, supprimer l’Agence Bio…  Réduire les moyens ou revenir sur leurs dotations sacrifierait des ressources indispensables pour sa capacité à protéger la biodiversité et à la défendre face aux pratiques illégales qui la dégradent : En défense des missions des agents de l’OFB, nous avons publié une tribune dans Le Monde avec des députés de l’opposition comme de la majorité, et des personnalités !

 

Quelques jours à Paris

Entre la réunion de groupe, la déclaration de politique générale, les auditions, y compris de la Mission d’Information sur le Pastoralisme, et les débats de contrôle, mardi dernier, à l’Assemblée Nationale, et entourée de 6 député-es et 7 sénateurs-rices de tous bords, ainsi que de 3 personnalités qualifiées, nous avons installé pour cette nouvelle mandature la Commission Supérieure du Numérique et des Postes 📮

Nous avons à cette occasion réélu un nouveau bureau et fait le point sur les grands enjeux que nous aurons à travailler dans les mois à venir : sur le service public de La Poste, la politique nationale d’inclusion numérique et la lutte contre la fracture numérique, le développement de l’IA et sa régulation… les enjeux sont immenses, et j’entends bien tout faire au sein de cette commission pour renforcer le service public postal et du numérique, notamment dans nos territoires ruraux ! On continue !

 

Une semaine dans la Drôme 📸

Écharpes tricolores et royales à l’apéritif festif des Bouviers de Upie📍 ce lundi 13 janvier !

Un plaisir d’échanger avec le Roi, la Reine, le Dauphin, Bacchus et le Baron (et le Maire et son équipe 😉) lors de cette chaleureuse fête des Bouviers qui chaque année anime le village et nous permet de nous retrouver !

 

 

Je me rendais ensuite à la Ferme Saint Ferréol, à Menglon📍, à l’invitation de la confédération paysanne de la Drôme. Nous y avons échangé avec des agriculteurs et agricultrices de tout le département sur les enjeux de renouvellement des générations, d’installation et de transmission à l’heure où la moitié des agriculteurs de notre pays partiront en retraite d’ici 2030, et où on peine à installer de nouveaux actifs. Notre pays a perdu 100 000 agriculteurs ces 10 dernières années, dans la Drôme on installe 70 agriculteurs par an, dont 15 par l’ADEAR. Il en faudrait près de 500 !

 

 

J’ai pu raconter les victoires écologistes lors de l’examen de la Loi d’orientation agricole étudiée au printemps dernier, pour laquelle j’étais cheffe de file : sur la juste répartition de la valeur, sur la défense du pastoralisme, sur le rajout de l’agriculture biologique (oubliée dans le texte initial!), contre la tentative de financiarisation de l’agriculture par les groupements fonciers d’investissement; pour la garantie du pluralisme et de la neutralité dans l’accompagnement à l’installation. Cependant, en dépit de 70 heures de débat, la loi adoptée est bien faible : avec une définition de la Souveraineté agricole incluant des objectifs de production énergétique, avec aucun dispositif d’évaluation et aucun objectif ferme d’installation, rien sur le foncier, rien sur la concurrence déloyale ou sur le revenu agricole, rien sur les filières d’excellence et de qualité, rien sur les manières de sortir des systèmes d’endettement et de développer l’autonomie, la diversification, et la déspécialisation, rien pour s’adapter aux nouvelles démographies agricoles, la gouvernance de l’installation… mais par contre des atteintes à la charte de l’environnement en matière de protection des espèces protégées.

Que ce soit dans l’examen du budget ou pour la suite, je continuerai à me battre pour partager la terre, pour installer des agriculteurs dans des projets agroécologiques, pour former, transmettre et coopérer ! Pour notre agriculture !

Jeudi dernier, rentrant de Paris, je me rendais aux côtés des AESH du Val de Drôme📍, pour les soutenir dans un contexte de mobilisation nationale. Je remercie les AESH mobilisé-es pour leur engagement dans leur travail si essentiel et difficile; et le coordinateur du PIAL et proviseur du collège de Revesz-Long pour son accueil, son écoute et sa bienveillance.

Puis direction le diois où je me suis arrêtée pour rencontrer les membres de la FNACA à Pont-de-Quart📍, l’association de tous ceux qui ont participé entre 1952 et 1962 à la guerre d’Algérie ou aux combats du Maroc ou de la Tunisie, à l’occasion d’une journée de convivialité autour d’une galette des rois. Merci à eux pour cette rencontre et pour nous rappeler l’importance des transmissions, même dans les moments douloureux de notre histoire.

 

Je rencontrais ensuite les équipes de la LPO Drôme-Ardèche dans le hameau de pré Matal à Boulc-en-Diois, où l’association accompagne un projet de création de mares, porté par les agriculteurs et les habitants, permettant, comme partout dans les milieux de montagne où ces projets sont portés, de restaurer les écosystèmes et notamment d’assurer une biodiversité vivace d’amphibiens et de libellules et insectes. Merci beaucoup pour leur accueil et pour le travail que vous faites pour préserver le vivant.

 

 

En soirée, j’ai assisté aux voeux de la communauté de communes du Diois, à Luc-en-Diois📍, où nous avons pu célébrer ensemble les réalisations et l’engagement des élus au service de nos nos territoires; puis j’ai rejoint l’auteur du GIEC Wolfgang Cramer, et le coordinateur de campagnes Nicolas Haeringer, présent à Baku, devant une salle comble à la Librairie Mosaïque à Die📍 sur la #COP29, dans une soirée horos-COP passionnante ! Il est possible d’agir et de transformer la vie, sans forcément attendre que ça vienne « de là haut » : À l’échelle locale et communautaire, comme les nombreux débats des Rencontres de l’écologie au quotidien le montreront à la fin du mois; et comme les municipalités de gauche et écologistes le démontrent au quotidien; en partant du bas et des doléances pour inspirer les politiques publiques qui disent la demande d’une transition écologique juste !

Vendredi, je tenais une nouvelle permanence décentralisée sur la commune de Montmeyran📍, l’occasion de vous rencontrer, et de vous accompagner face aux difficultés ou dans vos engagements ! Je resterai une députée de terrain, à votre écoute : le rôle des députés !

Je rencontrais ensuite à Crest📍 l’Ordre National des Infirmiers, puis l’Ordre des Médecins de la Drôme, avec mon collègue Paul Christophle, à Valence📍. Nous avons échangé sur les  questions de l’accès aux soins notamment en milieu rural, en lien avec la PPL de lutte contre les déserts médicaux dont je suis signataire, mais également sur l’impérieuse nécessité de l’aide médicale d’Etat. Avec mon collègue valentinois, j’ai également rencontré la MSA Drôme Ardèche Loire. Dans la Drôme, c’est un acteur incontournable pour accompagner les agriculteurs en difficulté, et porter des projets de proximité : Maisons Familiales Rurales pour la formation de nos jeunes, MARPA pour nos aîné-es, portage des aides CAF, prévention des risques professionnels, gestion de la caisse de retraite, de santé et des fonds FMSE ! Le soir, je me rendais aux vœux de Saint-Jean-en-Royans📍, où j’ai eu grand plaisir à échanger avec les élu-es et les habitants venus en nombre à cette occasion !

Enfin, samedi, j’avais l’honneur d’assister aux vœux des sapeurs-pompiers de Crest📍 à l’occasion de la Sainte Barbe ainsi qu’à la cérémonie de la commune de Pont de Barret📍. Me rendre à votre rencontre, remercier les élu-es locaux pour leur engagement est un des devoirs qui me tient le plus à cœur en tant que députée !

 

Le réseau social de la semaine : mon arrivée sur Bluesky

Cela faisait un peu de temps que je ne postais plus grand chose sur le réseau X, désormais propriété du milliardaire Elon Musk. Chaque fois, des insultes, des immondices, déversées par des hordes de pseudos anonymes. Je ne suis pas la plus à plaindre : le harcèlement y règne en roi, comme les contenus violents, qui sont plus partagés que les autres, la désinformation et les réalités alternatives. Plus rien ne compte, la vérité n’existe pas, les faits y sont désormais optionnels.

Alors, même si il y a éminemment de problèmes plus graves : sur X (anciennement twitter), j’ai plus de 17300 abonné-es, je m’y rendais et postais depuis quasi 10 ans toutes mes aventures et pensées politiques, j’y relayais des alertes du bout du monde dont j’aurais eu du mal à être au courant sinon, je m’y tenais au courant de l’actualité; les journalistes également rebondissaient sur mes réactions en 280 caractères. Cette actualité s’est affadie en insultes et en brouhaha incessant, nous empêchant par la simplification et le pire de l’humanité qu’on y encourage, de penser le monde.

Je continuerai donc à communiquer sur mon action, sur Instagram (pour un temps encore…), FacebookLinkedin, et Bluesky.

 

L’article de la semaine : comment nous allons publier, nous-mêmes, les doléances

Ce mardi, le Premier Ministre François Bayrou déclarait lors de son discours de politique générale vouloir « reprendre l’étude des cahiers de doléances« , voulant « répondre au cri qu’ont fait entendre les Gilets Jaunes sur nos ronds-points il y a six ans ». Une bonne nouvelle ?

« Contactée par France Info, l’équipe du chef du gouvernement ne dit pas comment il compte s’y prendre, ni quel ministère s’en chargera« .

L’impression d’être dans un jour sans fin. Le Président de la République avait promis il y a 6 ans exactement de rendre publiques les doléances sans avoir absolument rien prévu pour se faire.

Alors oui, c’est une bonne nouvelle : car cela veut dire, que tout doucement, tenir ses promesses, ouvrir les doléances, s’en inspirer pour les politiques publiques que nous défendons, devient une évidence. Bien évidemment, et sans naïveté sur ces discours politiques, qui, désormais, ne semblent engager que ceux qui les prononcent (bien malheureusement pour la valeur de la parole publique), nous continuerons de tout faire pour que les doléances soient restituées. À lire sur Franceinfo !

 

La grande journée du 25 janvier 

📣 Pour bien commencer cette nouvelle année 2025, et après la belle journée de lancement du 5 octobre dernier , rendez-vous ce samedi 25 janvier à partir de 13h30  à la salle des fêtes de Bourdeaux pour continuer à construire ensemble et à faire vivre la dynamique de cet été avec l’Avant-Pays !

L’idée est de nous doter collectivement d’outils de formation et de soutien pour toutes les initiatives qui émergent sur le territoire ! Plus d’infos ici : https://lavantpays.fr/

 

📣 Ensuite, à 18h30, toujours à Bourdeaux, soyez les bienvenu-es à ma cérémonie de vœux à la population ! 

L’occasion de vous présenter à la fois mon bilan de l’année passée, mais également mes vœux pour cette année 2025 ! Je serai si heureuse de vous (re)voir et de démarrer l’année avec vous toutes et tous !  Rendez-vous à la salle des fêtes de Bourdeaux📍

 

 

Les prochaines permanences citoyennes 👫

Voilà le calendrier de mes prochaines permanences parlementaires décentralisées pour le début de l’année 2025 ! Notez les dates et n’hésitez pas à prendre rendez-vous (créneau de 20 minutes) pour que nous nous rencontrions et que je puisse vous accompagner au mieux :

👉 Le vendredi 31 janvier, à Buis-les-Baronnies 📍, de 10h30 à 12h30

👉 Le vendredi 7 février, à Crest📍, de 9h30 à 11h30

👉 Le vendredi 14 février, à Nyons📍, de 10h à 12h

👉 Le vendredi 21 février, à La Chapelle-en-Vercors📍, de 10h30 à 12h30

👉 Le jeudi 13 mars, à Saint-Jean-en-Royans📍, de 10h30 à 12h30

👉 Le vendredi 21 mars, à Die📍, de 10h à 12h
Pour prendre rendez-vous, veuillez nous écrire à marie.pochon@assemblee-nationale.fr ou nous appeler au 06 65 82 25 99. J’ai hâte de vous rencontrer !

 

L’agenda de la semaine

Elle a commencé pour moi dans le Béarn et le Pays Basque, avant quelques jours à Paris 📍 où je suis intervenue lors de différents événements, à Agro Paris Tech mais également lors d’une audition des représentants du bureau Européen de l’UNRWA au Sénat et à l’assemblée nationale, et pour le colloque que j’ai eu l’honneur d’accueillir sur l’avenir de l’apiculture.

Après la journée d’initiative parlementaire socialiste, mon équipe et moi-même serons en séminaire à Die vendredi.

 

 

Ce samedi, rendez-vous pour deux temps forts :

  • à 13h30 l’assemblée générale de l’Avant Pays, à la salle des fêtes de Bourdeaux📍
  • à 18h30 pour mes vœux à la population, à la salle des fêtes de Bourdeaux📍

Venez nombreux !

 

Au plaisir de vous (re)voir, 

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